C’est à se tordre de rire

 

rire17 – Chéri est-ce que tu vas te remarier lorsque je serai morte ?

– J’sais pas… Oui sans doute.

– Est-ce que tu vas donner ma Mercedes à ta nouvelle femme ?

– Oui, sans doute. Après tout elle est presque neuve.

– Est-ce que tu vas lui donner mon manteau de fourrure ?

– J’sais pas, c’est personnel un manteau de fourrure. Peut-être bien que oui après tout, il est presque neuf.

– Est-ce que tu vas lui donner mes bâtons de golf ?

– Ben non… elle est gauchère.

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À Montréal, une vieille dame ouvre la porte du bordel et voit un homme élégant, d’âge mûr.

– En quoi puis-je vous être utile ?

– Je souhaite voir Sophie, répondit-il.

– Monsieur, Sophie est une de nos demoiselles les plus coûteuses. Peut-être souhaitez-vous voir une autre fille ?

– Non, merci, je dois voir Sophie.

Sophie apparaît immédiatement pour lui expliquer qu’elle demande 5000$ la passe. L’homme, sans discuter, allonge 50 billets de 100$. Ils vont dans une chambre et une heure plus tard, l’homme sort tranquillement. La nuit suivante, le même homme frappe à la porte et demande de nouveau à voir Sophie.

Sophie répond qu’il était très rare que quelqu’un lui rende visite 2 soirs de suite et qu’il n’aura pas pour autant de réduction. De nouveau, l’homme sort 50 billets de 100 $ de sa poche et les lui donne. En compagnie de la jeune femme, il se dirige vers une chambre et en ressort une heure plus tard.

Quand il apparaît la troisième nuit, personne ne peut en croire ses yeux. De nouveau, il donne 5 000 $ à Sophie et ils passent tous les deux dans une chambre. Une heure plus tard, alors qu’il est sur le point de partir, Sophie demande à son fidèle client :

– Personne n’a fait usage de mes services trois nuits de suite, d’où êtes-vous ?

– De Québec.

– Vraiment ? J’ai de la famille à Québec !

– Je sais. Votre père est décédé. Je suis l’avocat de vos sœurs et ce sont elles qui m’ont demandé de vous remettre votre part de l’héritage soit 15 000 $.

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Juan arrive du Mexique à la frontière séparant le Mexique des États-Unis à bicyclette. Il a un gros sac sur ses épaules. Le douanier l’arrête et lui demande :

– Qu’est-ce que tu as dans ton sac ?

Il répond :

– Du sable.

Le douanier, incrédule, lui dit :

– On va voir ça… Descends du vélo.

Le douanier ouvre le sac et répand le sable qu’il contient sur le sol. Il fouille dedans sans rien y trouver.

– C’est bon, lui dit-il.

Juan ramasse le sable du mieux qu’il peut et repart sur sa bicyclette. Une semaine plus tard, la même chose se produit. Le douanier demande à Juan :

– Qu’est-ce que tu as dans ton sac cette fois ?

Juan répond :

– Du sable.

Le douanier, qui n’est toujours pas convaincu, décide de détenir Juan pour la nuit et d’envoyer un échantillon du sable pour analyse. Le lendemain, les résultats révèlent qu’il s’agit bien de sable. Il laisse donc Juan repartir sur son vélo.

Le petit manège se poursuit tous les deux ou trois jours pendant les quelques années qui suivent. À chaque fois, le douanier fouille le sac de sable. Il envoie régulièrement des échantillons pour analyses de toutes sortes mais toujours sans rien trouver d’autre que du sable. Finalement, quelques années plus tard, Juan arrête de traverser la frontière à bicyclette avec son sac de sable.

Un beau jour, alors qu’il est à la retraite, le douanier prend ses vacances au Mexique et rencontre Juan dans un petit bar sur la plage.

– Hé ! je te reconnais, toi ! Tu n’est pas le gars qui traversait la frontière à bicyclette avec un sac de sable ?

Juan reconnaît le douanier et lui répond :

– Oui, c’est moi.

– Qu’est-ce que tu deviens ? lui demande le douanier.

– Je me suis acheté ce petit bar et je vis tranquillement, répond Juan.

Le douanier se décide finalement à lui demander :

– Écoute, je suis à la retraite et je n’ai plus aucun pouvoir. Je voudrais bien savoir une chose. Je n’ai jamais arrêté de penser à ça depuis que je t’ai vu la première fois. Juste entre toi et moi, tu faisais de la contrebande ?

Juan esquisse un petit sourire et répond :

– Oui, et c’est comme ça que je me suis acheté ce bar.

Le douanier s’approche un peu et demande à voix plus basse :

– Et qu’est-ce que tu passais frauduleusement aux douanes ?

– Des bicyclettes !

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C’est une fraise qui parle à une crotte et lui dit :

– Tu n’es pas belle, tu pues, tu as une sale couleur…. Alors que moi, je sens bon, j’ai une très jolie couleur…

Arrive le jardinier qui prend la fraise pour la manger. La crotte regarde la fraise et lui dit :

– À tout à l’heure … !!!

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Dans un asile psychiatrique, un masochiste, un zoophile, un sadique, un assassin, un nécrophile et un pyromane s’ennuyaient.

Le zoophile dit :

– Et si on enculait le chat?

Alors le sadique répond:

– Oui, enculons le chat et après on le torture !

L’assassin qui reprend :

– C’est ça, enculons le chat, torturons le et ensuite, on le tue !

Alors le nécrophile ajoute :

– On va enculer le chat, le torturer, le tuer, et le ré-enculer encore une fois !

Le pyromane rajoute :

– Enculons le chat, torturons le, tuons-le, ré-enculons-le, et ensuite on lui met le feu !

Le silence se fait, et tout le monde regarde le masochiste et lui demande :

– Et toi tu ne dis rien ?

Et le maso répond :

– Miaou !!

Vous en pensez quoi ?