Le travailleur et le politicien: Deux réalités différentes

 

Dupuis Jacques Dupuis quitte volontairement la politique après vingt ans de loyaux services. Afin de noyer sa peine et profiter d’un ressourcement en attendant les offres de travail qui arriveront rapidement, il pourra se consoler avec une belle prime de transition de 150 000$. C’est pas beau ça ?

Si on transpose le même scénario au travailleur ordinaire, non seulement il quittera sans le sou, mais il Fourniersera pénalisé de six semaines avant de pouvoir retirer une partie de son salaire sur une base bi-mensuelle. Il lui faudra aussi remplir une  multitudes de demandes d’emplois, pour essayer de se trouver un nouveau travail.

Deux réalités bien différentes, lorsque vient le choix de tirer sa révérence. Mais la farce dans tout ça, c’est le retour de Jean-Marc Fournier qui, il y a moins de deux ans, quittait lui aussi la politique avec une généreuse prime de transition. Après cela, on s’interrogera sur l’impopularité des politiciens… Des profiteurs du système.

Un commentaire sur “Le travailleur et le politicien: Deux réalités différentes

  1. Il faut les comprendre, la politique est un job tellement épuisant moralement. Pôvres petits, ils sont constamment sous les feux de la rampe. Ils faut leur donner un petit boni de temps à autres.

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