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La construction
Je ne comprends définitivement pas le poodle de continuer à s’opposer à une commission d’enquête sur la construction, après le dévoilement du rapport Duchesneau. Il n’a même pas pris le temps de lire le rapport avant d’en arriver à un tel entêtement. Faut croire que près de 80% de la population sont des imbéciles et que lui seul est le maître à bord, tel un dictateur arrogant.
S’il n’en veut pas d’une telle commission, c’est que le passé de son parti est loin d’être blanc comme neige et que ça pourrait lui nuire. Patience, un beau jour, il aura à rendre des comptes, au pays de la magouille.
Le Québec, une histoire de famille
Après les Tremblay, voici les Nguyen. J’ai été assez surpris de voir que dans cette série de capsules ce nom en fasse le deuxième épisode. Remarquez que je n’ai rien contre ces personnes mais il me semble que le topo qui annonçait la série n’en faisait pas mention. On parlait plutôt des Bouchard, Gagnon, Tremblay pour ne citer que ceux-là, mais pas les Nguyen. Leur histoire ici débutant dans la décennie 70, il me semble qu’on aurait pu s’en abstenir, à moins que je n’ai pas compris l’idée derrière cette série d’articles. En plus, ils viennent au 130e rang au Québec. Il me semble qu’on aurait dû s’attarder aux noms des familles qui ont pris racines ici, au début de la colonisation.
La Ville de Montréal et sa tour de Babel
À voir aller le maire de l’arrondissement Plateau-Mont-Royal, on voit bien ce que les fusions municipales et ses bonbons d’arrondissements ont créées. Des petits royaumes à la Ferrandez qui font la pluie et le beau temps avec les automobilistes, sans se soucier des autres. On l’avait dit au moment des fusions que ça créerait le bordel et voilà que ça y est. Avec tous les problèmes de Montréal c’est une vraie tour de Babel et il faudra des décennies avant de voir l’unité dans cette ville cosmopolite. Encore une réalisation du Poodle.
La succession de Gatti
Toute une saga livrée en public que ce procès hautement médiatisé où des acteurs s’entredéchirent pour une poignée de dollars, parce que finalement c’est ce qui en restera, une fois les procédures terminées. C’est assez éloquent comment des personnes peuvent en arriver à un pareil différent pour de l’argent. Chacun tire la couverture de son côté, pendant que des avocats salivent, rien qu’à voir le compteur des honoraires augmenter. Pathétique !
L’«équipement» des sud-africains…
Pourquoi ne pas terminer sur une note cocasse. L’Agence France Presse rapporte qu’un tribunal sud-africain a interdit au gouvernement d’acheter 11 millions de préservatifs féminins chinois au motif qu’ils seraient… trop petits pour les Sud-Africains. Selon le quotidien Beeld, le ministère des Finances avait attribué un contrat à la société sud-africaine Siqamba Medical qui devait importer des millions de préservatifs féminins fabriqués en Chine. Mais une compagnie concurrente, Sekunjalo Investments Corporation, avait saisi la Haute Cour de Pretoria avec un argument de taille : ses préservatifs sont 20 % plus longs que ceux du fabricant chinois. Le juge a donné raison à cette société au motif que les préservatifs made in China étaient trop petits, de mauvaise qualité et non homologués par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Au moins, les sud-africains ont de quoi pavaner.