La pétanque par un bel après-midi

2013-03-04 013Aujourd’hui, sous un ciel bleu azur avec une température des plus agréable, vingt-six équipes se disputaient la troisième édition du tournoi hivernal de pétanque, ici à Pioneer Village. Dès midi, le lieu de compétition s’activait et toute l’équipe de bénévoles était à pied d’oeuvre pour enregistrer la horde de participants et participantes.

Le coup d’envoi donné, le sérieux de ces matchs amicaux était de mise. L’enjeu; remporter le précieux trophée emblématique et les beaux billets vert (ils sont tous vert) qui s’y rattachent. Tout le monde sait que pour espérer remporter les honneurs, il faut littéralement écraser l’adversaire, alors c’est le moment de montrer ce que les nombreuses heures de pratique peuvent apporter en terme de résultats significatifs.

Près de trois heures d’intenses compétitions ont permis de départager le classement. La médaille de bronze est allée à l’équipe de Richard Latour, flanqué de Suzanne Elms et Jean Lavoie, ce dernier répétant l’exploit pour une deuxième fois de la saison. L’équipe du capitaine Guy Martin épaulé par Jocelyn Pruneau et André Riopel on pour leur part, mis la main sur la médaille d’argent. Enfin, les grands vainqueurs de cette troisième édition et récipiendaires du précieux trophée et de la médaille d’or sont allés à l’équipe de Jean-Guy Therrien, accompagné de Gilles Rochefort et de Marcel Tassé. Pour Jean-Guy Therrien, c’était sa deuxième présence sur le podium cette saison, ayant terminé deuxième lors du tournoi précédent. Les nombreux tirages de prix et le traditionnel souper aux hotdogs ont mis un terme aux festivités.

2013-03-04 016AAu risque de me répéter, si cette activité remporte un tel succès, c’est parce que toute une équipe de bénévoles y met son énergie. Mais avant tout, il faut souligner l’immense implication de son infatigable chef d’orchestre en la personne de Charles-Arthur Morier, notre Jean Rafa national. Partout, depuis de nombreuses années, il organise et popularise ce sport. On peut compter sur les cinq doigts d’une main, les soirs où il est absent sur les allées. Dès son arrivée en provenance du Québec, on le voit même le premier soir, s’amener avec ses boules à la main, aux guidons de sa mini bicyclette.

Durant les remerciement d’usage, Michel, l’annonceur-maison, en faisait l’éloge et les applaudissements nourris qu’il a reçu étaient on ne peut plus mérités. À l’aube de ses 75 ans, c’est encore une force de la nature. Bravo et merci Charles !

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