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Montréal zone sinistrée
C’est l’opinion que j’ai, depuis ce dernier mercredi alors que je me trouvais dans cette métropole qui s’enlaidit. Dès la sortie du pont Jacques-Cartier, sur De Lorimier, on a le sentiment que ses rues manquent d’entretien.
Une chaussée remplie d’ornières depuis je ne sais combien de temps, que les véhicules lourds ont probablement défiguré. Des valons, des bosses et des quantités démesurées de cônes oranges et de barricades, qui donnent l’impression d’une zone sinistrée.
La belle rue Sherbrooke de jadis est défoncée et il faudra plusieurs mois de travaux pour la rendre carrossable sans y laisser sa suspension. Le centre-ville, c’est encore pire. Des travaux aux cent pieds à un point tel, qu’on se demande pourquoi l’administration a tant attendu pour l’entretenir.
Ajoutez à cela le transport en commun, les bixis, tout le matériel roulant et les piétons, et vous obtenez une grosse épreuve de slalom. Il faut avoir les yeux tout le tour de la tête pour ne pas esquinter sa bagnole. Pour les piétons et les cyclistes c’est devenu hasardeux, voire suicidaire, de seulement s’aventurer dans une intersection.
Non, très peu pour moi et à moins d’y être obligé, vive ma Rive-Sud. On sort crispé de Montréal puis, on relaxe au-dessus du Saint-Laurent.
Les Commissions scolaires
Est-ce qu’on va s’en sortir un jour ? Depuis le temps qu’on le dit, j’ai hâte que le gouvernement mette ses culottes et agisse en responsable. Quand on sait ce qu’un simple bulletin a pu causer de chamailles en éducation, le même scénario se répète avec ces institutions élues par deux ou trois citoyens. Le consensus ne sera jamais possible. On le voit d’ailleurs avec la taxation.
Moi je suis pour son abolition. Dehors ! On responsabilise les directeurs d’école, on ajoute des fonctionnaires gouvernementaux pour gérer tout ça et on sauve des millions. Madame Malavoy menace de leur enlever leur pouvoir de taxation. Tant mieux et qu’on le fasse au plus vite. Après ça, au rancart le bois mort et on passe à autre chose. On va de l’avant !
« Y fa tu beau ! »
Mettez-en qu’il fait beau. Rien que du soleil. Un début d’automne comme celui-là, je prendrais ça chaque année, En tout cas, Louise et moi on en profite pour tout ranger, avant le départ pour la Floride mardi en huit, comme le disait ma mère. Nous sommes en avance sur le programme et on continu de compter les jours.
Avec notre nouvelle bagnole, ce sera l’occasion de répondre à certaines interrogations qu’ont les gens à propos des voitures électriques. C’est le pari que je me suis fixé; faire le trajet de 2 600 kilomètres, en combinant les modes électrique et autonomie prolongée (génératrice). Je me ferai un plaisir de vous en informer chaque soir jusqu’à notre arrivée à Fort Myers.
Une petite statistique en passant; Aujourd’hui, j’ai fait le plein de ma Volt, après avoir parcouru 715 kilomètres sur dix jours, en mode électrique pour une bonne partie et en mode essence pour le reste. J’ai mis 19,850 litres d’essence super pour un résultat combiné de 2,78 litres au 100 kilomètres, soit 101,75 milles au gallon, selon la mesure impériale. Et pour 26,18$. Intéressant ! J’ai quitté la station d’essence avec le sourire fendu jusqu’aux oreilles… Chose que je n’avais pas fait depuis longtemps. Ma revanche sur l’or noir quoi !
Montréal, c’est très bien quand on y vit et qu’on se déplace d’un quartier à l’autre en transport en commun. Y circuler en voiture, se stationner et surtout en sortir, s’avère très difficile sur les nerfs et met la patience à rude épreuve!
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