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Opinion
La loi 101, la loi 96, on aura beau voter des lois pour respecter et imposer le français au Québec, à tous les jours, elles sont défiées effrontément sans que l’Office de la langue française (OLFQ) ne lève le petit doigt.
En fait, pourquoi elle existe l’Office. Pour payer des gros salaires à des ronds de cuir inefficaces et improductifs ? Poser la question, c’est y répondre.

Je vais vous raconter un fait vécu. Il y a plusieurs années s’est installé au Québec un commerce canadien d’articles de plein air Mountain Equipment Company, à Greenfield Park, sur la Rive-Sud de Montréal. Ce commerce s’identifiait avec sa dénomination anglaise. Frustré, je porte plainte à L’OFLQ pour me faire dire qu’une raison sociale en anglais est accepté dans la loi.
Maudite belle affaire !

Curieusement, quelques temps plus tard, et je ne sais pourquoi, l’affiche du magasin était devenue un acronyme : MEC. Une façon de détourner l’affichage français sous une forme qui n’a pas de langue.
Puis, vient la loi 96. Dès son adoption, les anglos, cette minorité enveloppée dans la ouate qui se disent persécutés au Québec, la conteste. Je n’en écrirai pas plus sur cette affirmation parce que ça pourrait dépasser ma pensée, mais récemment, ce commerce a remis son affiche d’origine : Mountain Equipment Company. C’est passé comme une lettre à la poste.
Que voulez-vous ? Dès juin 2025, Québec imposera l’affichage commercial en français… Comment est-ce possible puisque linguistiquement, nous sommes déjà morts ?
J’aimerais savoir le salaire des directeurs de MEC pour mettre du Piquant et demander leur démission sur le chant.
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