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Opinion
Quand j’étais petit, après la deuxième Grande Guerre, on nous annonçait un avenir prometteur avec plein de belles et bonnes choses. Une évolution radicale des humains et une technologie à toute épreuve.

Au Québec, la révolution tranquille des années 60 allait nous permettre de réaliser de grandes choses ici et à la vitesse grand V. On se libérait des années 40-50 sous l’emprise de l’abusive religion. Avec ce nouvel avenir tout devenait possible et on rêvait de liberté.
A-t-on évoluer pour le mieux ? Oui, dans une certaine mesure, mais on dirait que la pandémie a tout bousillé et on recule au lieu d’avancer. Nous sommes dans une ère de tolérance absolue avec des services qui s’effritent. Pour cet article, je me suis limité à quatre secteurs, même si on pourrait en rajouter beaucoup.
L’IMMIGRATION
67 000 nouveaux arrivants en 2024. Nos politiciens nous disent depuis longtemps que ce nombre est insensé pour le Québec. Hélas, le fédéral s’en fout. C’est une astuce diabolique pour faire mourir la langue française.
Est-ce qu’on contrôle cette immigration ? Absolument pas, parce qu’il faut une éternité pour régler les dossier malgré l’embauche irréel de fonctionnaire qui ne « fonctionnent » pas. Certains immigrants arrivent ici avec des désirs criminels. Comment voulez-vous contrôler 67 00 personnes en quelques jours.
Avec cette absence de contrôle, les criminels s’en donnent à cœur joie.
Parallèlement à cette immigration massive, on a vu cette criminalité augmenter. De mémoire, jamais on n’a assisté à de multiples fusillades dans des quartiers peuplés comme aujourd’hui. Sans vouloir être raciste, et sans mettre tous les immigrant dans le même panier, certaine pommes pourries s’infiltrent dans ce lot.
C’est fou comme nos criminels québécois ont des noms étrangers. Habitués de lancer des roches dans leurs pays d’origine, ici, ils ont des armes. Qu’ils utilisent malhabilement.
Certains reçoivent, ici, la pleine liberté d’être des criminels sans scrupules.
Et c’est sans compter les étrangers qui veulent nous imposer leurs cultures. Le Québec devient leur terre d’accueil et, en ce sens, ils doivent adopter les nôtres, sinon qu’ils aillent voir ailleurs.
SENTENCES BONBONS
Depuis quelque temps, on assiste à une prolifération de sentences bonbons. Quand tu es accusé et trouvé coupable d’une infraction criminelle, ce devrait être l’incarcération. Deux ans moins un jour, c’est déjà acceptable et voilà que ces bandits veulent purger leur peine dans le confort de leur foyer.
Une risée !
Est-ce que ça envoie un message clair ? Absolument pas ! Et on en voit de plus en plus demander cette « peine ». Rien ne change dans ton quotidien. Récemment, une criminelle a tué un homme d’un seul coup de poing. C’est au minimum un homicide involontaire qui devrait signifier une peine d’incarcération. Non le juge lui a donné deux ans moins un jour à purger chez elle plutôt que derrière les barreaux. Une farce ! Elle a tué ???
Une grosse aberration et tout le monde veut une telle sentence. La justice envoie quoi comme message ? Elle fait quoi la « justice » des victimes et de ses proches qui, eux, ont reçu une sentence à vie.
La vie ne sera jamais plus pareille pour eux, alors que la criminelle continuera sa vie comme avant, avec une toute petite contrainte, celle d’une année les deux pieds sur le pouf avec des petites douceurs. Le juge Daniel Royer l’a même félicité de s’être reprise en main, ajoutant que « le chemin parcouru était remarquable. Elle aurait dû y penser avant, alors que sa victime et ses proches, ont été privée du reste de sa vie.
Évidemment, je n’ai pas assisté au procès, mais ma première réaction en apprenant le verdict, m’a révolté.
Et n’ayez crainte, ce procès fera jurisprudence.
BONJOUR… JE SUIS UN ENREGISTREMENT
Personnellement, je déteste tomber sur un répondeur quand je désire un service. Je m’ennuie du temps ou une réceptionniste humaine me transférait au bon service. Ça ne prenait que quelques secondes.
S’il est un secteur où la technologie nous a « chié dans les mains » c’est celui-là !
On entend « Tous nos préposés sont déjà occupés… ». J’aimerais bien savoir combien de préposés sont en devoir. Un message d’introduction de plus de trois minutes où tu es mieux d’avoir un crayon parce le message te défile tout le répertoire au grand complet avec d’autres numéros de téléphones et/ou d’adresses courriels.
Chez plusieurs, on nous demande de porter attention au message parce que le menu a changé il y a… deux ans. J’en ai même trouvé un, chez un assureur qui annonçait, tout joyeux qu’une nouvelle acquisition (un autre assureur) s’était jointe au groupe, en… 2019. Allo ! on est presqu’en 2025. Allume !
Chez d’autres, qui vous font attendre une éternité, on vous propose de laisser votre numéro de téléphone, pour qu’on vous rappelle. On mentionne également que vous ne perdez pas votre priorité d’appel. Le dernier qui m’a fait ça, c’était le 31 octobre et j’attends encore.
Finalement, la fameuse mise en garde de ne pas utiliser un langage injurieux et bla-bla-bla. Comment peux-tu essayer de te contrôler quand on te fait poirauter depuis une heure au bout du fil. Tu exploses ! Jamais une téléphoniste HUMAINE et en personne, n’aurait dit une pareille stupidité.
LE FRANÇAIS
Je le dis depuis longtemps, la langue française est morte, à moins qu’on fasse notre indépendance. C’est probablement rêver en couleur parce que les Québécois voteront pour le Parti québécois, mais sont contre l’indépendance. Comme on dit, les Québécois sont forts en gueule mais ne mordent pas.
L’assimilation est déjà commencée et pour ma part, je vais parler en anglais aux États-Unis et ici, c’est non ! Démardez-vous !
Lorsqu’un anglophone m’interpelle en anglais, je ne me gêne pas pour lui dire qu’au Québec, la langue est le français et je l’invite à regarder tout autour et se choisir une parcelle de terre anglophone. Il n’aura que l’embarras du choix.
À quoi sert l’Office québécois de la langue française (OQLF) exactement ? À payer des ronds de cuir qui ne font rien d’autre que d’empocher des salaires faramineux pris à même mes impôts.
En passant, hier, j’ai croisé une bagnole de service sur laquelle était inscrit « Parts City », qui a pignon sur rue au Québec. Probablement un passe-droit de l’OQLF.
Il y en aurait très long à rajouter. À vous d’y laisser un commentaire pour en faire profiter les autres. Quant à moi, depuis la pandémie qui a le dos large, la société en général s’est « empironnée » au lieu de « s’enmieuter ».
Et c’est pas fini…