Heureusement que le ridicule ne tue pas

 

Une 19 juin 2010 Sinon, les dirigeants du Centre de santé des sommets seraient mort d’imbécilité. Je veux parler de l’histoire de ce couple de nonagénaires qui vit séparé depuis près de deux ans et qui fait la une des journaux ce matin. La raison de cette séparation tient au fait que Monsieur ne reçoit pas les 3 heures minimum de soins requis pour son état de santé. En fait, il en est seulement à 2h39 de soins quotidiens. Wow ! Deux-heures-trente-neuf minutes… Plus précis que ça, tu meurs. On parle ici d’une différence de 21 minutes. Pas fort comme décision de séparer ce couple qui doit sûrement mieux fonctionner à deux.

On en est rendu là ! Quand les administrateurs de ces institutions ne pensent pas plus loin que le bout de leur nez, qu’ils ne font preuve d’aucune compassion et qu’ils se cachent derrière la rigidité d’une règlementation, ça démontre de l’incompétence absolue. C’est comme le reste, ou ce qui reste de nos services de santé; C’est tout croche. Le jour où on va éliminer les chefs pour augmenter le nombre d’indiens, peut être qu’on va aboutir à quelque chose. Tiens, voilà que je me remets à rêver.

En fin de texte on apprenait que la direction du CSSS des Sommets est à réévaluer le dossier. Dans l’éventualité d’un règlement favorable au couple, il aura encore une fois fallu alerter l’opinion publique pour faire débloquer les choses. Pourquoi en arriver là ? L’art de compliquer les choses simples.

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