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Sur l’Internet, on voit de tout; des injures, des insultes, de beaux textes, des analyses et des opinions. Il y en a pour tous les goûts. C’est tellement gros et incontrôlable que souvent, des gens se cachent sous des pseudonymes, ou sans oser signer les textes qu’ils produisent. C’est encore plus vrai dans les réseaux sociaux, et même pire, où se mêlent toutes sortes d’affirmations anonymes et très souvent erronées.
Au début de ma vie de blogueur, j’avais reçu par courriel, une histoire qui me semblait très crédible, vraisemblable et que j’ai publiée, malgré le fait qu’elle n’était pas signée. L’auteur n’ayant pas pris la peine, volontairement ou non, d’endosser son propos. Dans les minutes qui ont suivi ma publication, j’ai reçu un message privé et signé cette fois-ci, à l’effet que l’histoire était une pure légende urbaine et c’était la personne visée dans le texte qui me l’annonçait. Mon premier réflexe fut de la remercier et ensuite, de retirer complètement mon article du blogue.
Régulièrement, on m’envoie des textes d’opinion, d’histoires supposées véridiques, ou loufoques. Dans ces textes, on affirme des choses, des chiffres ou des incitatifs qui quelquefois, frisent la dénonciation. Malheureusement, l’auteur ne se nomme pas, ou presque jamais. Il se cache anonymement derrière des organismes ou des compagnies crédibles pour donner plus de poids à ses écrits, qui frisent souvent la diffamation. Je n’embarque plus jamais dans ce genre d’histoire que je m’empresse de supprimer ipso facto !
Ces imposteurs profitent de ces missives sournoises, méchantes et mesquines pour cracher leur venin à la face du monde, sans avoir le courage de leurs opinions, refusant de s’engager, de se commettre, bref de signer ce qu’ils prétendent. C’est toujours la manière la plus facile et je ne l’endosse pas du tout. Je n’ai aucun problème à publier un texte de quelqu’un d’autre tout en prenant le soin et la délicatesse d’en mentionner la source. Je m’en fais toujours un devoir et surtout, j’assume entièrement mes écrits. Nous vivons dans un pays de droit, où les opinions divergentes sont partagées et façonnent l’opinion publique, alors autant en profiter légalement et de la bonne façon.