La rigolade grivoise

RireGrand-père et grand-mère sont en visite chez leur petit-fils lorsque grand-père trouve une bouteille de Viagra dans la pharmacie de son petit-fils. Il demande au petit-fils s’il pouvait utiliser une des pilules de Viagra.

Son petit-fils lui répond :

– Je ne crois pas que tu devrais en prendre une, car c’est très fort et très dispendieux.

– Combien? demande le grand-père.

– 10.00$ la pilule, répond le petit-fils.

– Je m’en fous j’aimerais en essayer une, et avant de partir demain matin, je te laisserai 10.00$ sous l’oreiller.

Le lendemain matin, le petit-fils trouve 110.00$ sous l’oreiller. Il appelle immédiatement son grand-père et lui demande :

– Je t’avais dit grand-père, que chaque pilule coûtait 10.00$ et non pas 110.00$ ?

– Je sais, répond le grand-père, le 100.00$ vient de ta grand-mère! Bye-bye!

—————————————————————————-

Le juge : – Quel est votre âge?

La vieille : – J’ai 86 ans.

Le juge : – À la date du 1er avril de l’année dernière, Racontez-nous, avec vos propres mots, ce qui vous est arrivé.

La vieille : – J’étais assise sur la balancelle de mon balcon. C’était en fin d’après-midi, il faisait bon et doux. Un jeune homme est venu s’asseoir à côté de moi.

Le juge : – Vous le connaissiez???

La vieille : – Non, mais il était très amical.

Le juge : – Que s’est-il passé ensuite?

La vieille : – Après une petite conversation délicieuse, il a commencé à me caresser la cuisse.

Le juge : – Vous l’en avez empêché?

La vieille : – Non!

Le juge : – Pourquoi?

La vieille : – C’était agréable. Plus personne ne m’avait jamais fait ça depuis que mon Albert est mort, il y a 30 ans.

Le juge : – Que s’est-il passé ensuite?

La vieille : – Je suppose que, comme je ne lui ai rien dit, il a continué et a commencé à me caresser les seins.

Le juge : – Vous l’en avez empêché alors?

La vieille : – Bien sûr que non.

Le juge : – Pourquoi?

La vieille : – Parce que, votre honneur, il m’a fait me sentir vivante et excitée. Je ne m’étais pas sentie… aussi mouillée et pleine de désir depuis des années!

Le juge : – Que s’est-il passé ensuite?

La vieille : – Et bien, Monsieur le juge, que pouvait véritablement faire une femme chaude comme la braise, à la tombée de la nuit, devant un jeune homme avide d’amour? Nous étions seuls. Écartant mes jambes en douceur, je lui ai dit :

– Prends-moi maintenant!

Le juge : – Et il vous a prise?

La vieille : – Non! Il a crié :

– Poisson d’avriiiiiiiiiiLLLL !

Et c’est à ce moment-là que je l’ai étouffé, le Tabarnak!

—————————————————————————-

Dimanche, 6 heures du matin, l’homme se lève sans faire de bruit pour ne pas réveiller son épouse. Il charge son vélo dans la voiture, et s’en va. Arrivé sur le parcours il se met à tomber des trombes d’eau. Sa matinée est foutue, il décide de rentrer chez lui. Il se déshabille sans faire de bruit et se recouche doucement tout près de son épouse, et lui chuchote à l’oreille :

– Il pleut comme vache qui pisse…

Et elle, répond :

– Quand je pense que l’autre con est en train de pédaler…

—————————————————————————-

C’est un vieil homme de 80 ans qui va chez le docteur pour un examen annuel. Ce dernier lui demande comment vont les choses :

– Je suis en pleine forme, je sors avec une jeune de 18 ans, et je l’ai mise enceinte. Qu’est-ce que vous pensez de ça, doc?

– Laissez-moi vous raconter une histoire, dit le docteur. C’est une histoire vraie.

– J’ai un ami qui est un passionné de chasse, il n’a jamais manqué une saison. Un jour, alors qu’il s’en allait chasser et qu’il était pressé, il se trompa et au lieu de prendre son fusil, il prit son parapluie. Au cœur de la forêt, il aperçoit un grizzly qui fonce sur lui. Il saisit son parapluie, l’épaule et appuie sur la poignée. Savez-vous alors ce qu’il s’est passé?

– Non!

– Eh bien, le grizzly tomba raide mort à ses pieds.

– C’est impossible, s’insurgea le vieillard. Quelqu’un a dû tirer à sa place!

– C’est là où je voulais en venir.

—————————————————————————

Une dame va renouveler son passeport :

– Combien d’enfants avez-vous?

– 10!

– Et leurs prénoms?

– Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard et Bernard.

– Ils s’appellent tous Bernard? Et, comment vous faites pour les appeler quand ils jouent tous dehors, par exemple?

– Très simple, je crie Bernard et ils rentrent tous.

– Et si vous voulez qu’ils passent à table?

– Pareil. Je crie Bernard et tous se mettent à table.

– Mais, et si vous voulez parler particulièrement avec l’un d’entre eux, comment vous faites?

– Ah! Dans ce cas-là, je l’appelle par son nom de famille.

Vous en pensez quoi ?