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On apprenait, lundi dernier, combien les radars photos pouvaient être rentables au Québec. Il n’en fallait pas plus pour relancer les dénonciations des victimes et de ceux qui y voient du harcèlement de la part des autorités, et des autres qui accusent le gouvernement de s’en mettre plein les poches. C’est prouvé que ces radars améliorent le bilan routier, quoi qu’en dise leurs pseudo-détracteurs.
Qui, les radars photos dérangent le plus? Évidemment ceux et celles qui ont le pied pesant et qui font fi des limites de vitesse. Ils s’imaginent que ces mêmes limites sont appliquées pour devenir des trappes à tickets. Si ces appareils rapportent si gros, c’est justement qu’ils sont placés aux bons endroits, sinon, ils ne seraient d’aucune utilité. Malgré la signalisation qui annonce leurs présences, les automobilistes se font prendre.
On a qu’à regarder le comportement des conducteurs sur nos routes, pour se rendre compte que plusieurs se moquent carrément des limites de vitesse. Même en roulant 10 kilomètres de plus que celle affichée, on se fait dépasser par des kamikazes qui filent allègrement comme s’ils avaient le feu aux trousses. Ils ne sont pas les seuls, mais curieusement, j’ai remarqué qu’on en voit beaucoup, casquette renversée, au volant d’une Volkswagen…
Au Québec, les limites de vitesse sont appliquées en vertu de leur environnement. Les courbes sont annoncées par des panneaux qui nous suggèrent la vitesse sécuritaire à adopter pour les aborder en toute sécurité. Que faut-il demander de plus? Dans les zones de construction, elle est adaptée également au relief et aux dangers inhérents et malgré ce fait, beaucoup de conducteurs ne s’y conforment pas.
S’il n’en tenait qu’à moi, les radars photos deviendraient les contrôleurs routiers permanents, partout où les excès de vitesse sont monnaie courante et signalées, sur tous les chantiers de construction, les zones scolaires et les endroits où la dangerosité est évidente. Les amendes devraient également être doublées, voire même triplées, pour qu’elles soient dissuasives. Cette taxe volontaire deviendrait le prix à payer pour les irresponsables du volant. Ce serait une taxe productive et qui allégerait le fardeau toujours grandissant des payeurs de taxes qui respectent les règlements de la route. Une forme d’utilisateur-payeur en quelque sorte.
Dans certains pays, les radars ne sont pas annoncés. Vous roulez trop vite, vous prenez un risque et vous en subissez les conséquences. Ici, dès qu’on parle de radars photos, on blâme les policiers d’écœurer tout le monde, et au gouvernement de s’enrichir avec leurs trappes à tickets. Grand bien leur fasse! Il n’y a qu’une seule façon de régler le problème et de reléguer aux oubliettes ces machines gobeuses de précieux dollars; levez le pied… point final!
Salut Normand,
La semaine dernière, je me suis fais prendre et je l’ai payé sans dire un mot…
Tu as entièrement raison !
Bonne journée,
Claude
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Salut Claude. Heureux de ton commentaire. Tu reviens quand tu veux.
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Très bon ton article et de ma part des trappes à ticket ca n’existe pas,il y a seulement des conducteurs qui sont en infraction.
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Merci Pierre.
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Moi non plus j’ai rien contre les radars photos en général, ou le bas blesse c’est comme exemple sur certains boulevards comme le boulevard Henri Bourassa à Montreal ou la limite de vitesse change trois fois sur 2 kilomètres, et il installe les radars ou la vitesse est la plus basse,
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