Bienvenue dans mon univers ! Vous êtes ici chez vous.
La Une
Ça fait longtemps que je le dis; si on veut faire l’indépendance du Québec, il ne faut pas cesser d’en parler et d’en faire sans cesse la promotion.

Tout ce que la CAQ décide présentement comme demande, toujours refusée par Ottawa, doit être repris par le Parti québécois et élaboré dans le cadre de l’indépendance.
En écoutant les derniers propos de Paul St-Pierre Plamondon, c’est un vent de fraîcheur qui nous flatte le visage et dont on avait besoin depuis le dernier référendum de 1995, qui aura 28 ans le 30 octobre prochain.
Cette journée où nous sommes arrivés à un seul cheveu de réaliser ce que René Lévesque voulait ardemment pour son peuple. C’était un sauveur et un idéaliste qui gouvernait pour monsieur et madame tout le monde, qui l’ont finalement déçu.
Paul St-Pierre Plamondon, mis à part Pauline Marois et Pierre-Karl Péladeau pour une courte période, est le seul qui fait vivre cette option. Il est du même moule. C’est une personne impliquée et crédible pour réaliser ce qu’on espère depuis des lunes; devenir maître de notre destinée sans rendre de compte au fédéral.
Il faut qu’il continue de parler d’indépendance parce qu’il reste encore du temps, d’ici la prochaine élection, de brosser un portrait viable d’un Québec souverain, du temps pour convaincre les indécis.
J’ai toujours soutenu que le fédéral à tout à perdre dans notre indépendance. Sur le plan géographique seulement, imaginez un Canada divisé, les maritimes d’un côté et le reste séparé par un Québec souverain.
J’en rêve !
J’irais même jusqu’à dire ou prédire qu’un Québec indépendant remettrait en question la survie du Canada tel qu’on le connaît. N’oublions pas que la Colombie-Britannique et l’Alberta y ont déjà songé.
J’ai confiance en Paul St-Pierre Plamondon. Il n’y a pas si longtemps, on annonçait la mort du PQ alors que maintenant, il représente l’opposition officieuse, à défaut d’être officielle.
Comme le disait René Lévesque au soir de la défaite du référendum de 1980 : « Si je vous comprends bien, ce que vous êtes en train de dire c’est : « À la prochaine fois ! ». »
On a raté 1995 mais la prochaine doit être la bonne.
Préparons 2026 !
295e jour de l’année
Dimanche, 22 octobre 2023
On célèbre aujourd’hui…
LA JOURNÉE MONDIALE DU BÉGAIEMENT
Pensée et citation du jour
Si tu veux vivre heureux, promène-toi avec deux sacs, l’un pour donner, l’autre pour recevoir.
Proverbe chinois
Ça s’est passé un 22 octobre…
(1797) Fin 1796, André-Jacques Garnerin réussit le parachutage d’un chien à partir d’un ballon. Il met alors au point un dispositif composé seulement de toile. Avec lui, il s’élance avec succès le 22 octobre 1797 depuis un ballon situé à 915 mètres au-dessus du parc Monceau à Paris. L’engin comporte une coupole et une nacelle accrochés au ballon gonflé à l’hydrogène. Arrivé à bonne altitude, les cordes qui le retiennent au ballon sont coupées et la nacelle redescend vers le sol retenue par le parachute ouvert au-dessus d’elle.
(1926) En ce jour, Harry Houdini vient à Montréal. Il avait l’habitude de demander à quelqu’un dans le public de lui infliger un coup de poing dans le ventre, pour prouver qu’il était invincible. Mais au cours de ce spectacle, la personne choisie, J. Gordon Whitehead, un étudiant de l’Université McGill, le prend par surprise et lui donne un coup sans qu’Houdini soit prêt. Il décèdera quelques jours plus tard soit le 31 octobre.
(1996) Guy Lafleur est intronisé au Temple de la Renommée du sport au Canada. Guy Lafleur a remporté le championnat des marqueurs de la Ligue nationale trois fois et le trophée Hart à deux reprises. De plus, pendant qu’il faisait partie des canadiens, ce club a remporté cinq coupes Stanley.
Merci de votre fidélité. – Passez une excellente journée !