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La Une
Quel que soit votre statut d’emploi, vous avez un devoir de loyauté envers votre employeur. Il doit pouvoir vous faire confiance. Même si vous n’avez rien signé. Et même une fois que vous n’être plus à l’emploi !
1- VOUS AVEZ PLUSIEURS OBLIGATIONS À RESPECTER
Vous devez agir avec loyauté et honnêteté envers votre employeur. Cela signifie :
– Être honnête avec lui;
– Faire preuve de jugement dans votre rôle;
– Faire passer les intérêts de votre employeur avant les vôtres;
– Protéger les informations confidentielles que vous obtenez au travail (par exemple, une recette secrète de sauce ou des informations privées sur des clients).
2- VOUS Y ÊTES OBLIGÉ, MÊME SANS CONTRAT ÉCRIT
Vous avez un devoir de loyauté envers votre employeur, même sans avoir signé un contrat de travail.
Votre employeur peut quand même vous faire signer un « contrat de confidentialité », pour s’assurer que vous garderez secrète l’information à laquelle vous avez accès.
Ce contrat crée une responsabilité supplémentaire qui dépasse le devoir général de loyauté envers votre employeur.
3- VOTRE DEVOIR PERDURE APRÈS L’EMPLOI
Que vous ayez démissionné ou qu’on vous ait congédié, certains aspects du devoir de loyauté continue d’exister, pour toujours ou pour un certain temps après la fin de votre emploi. Par exemple, vous devez garder confidentielles pour toujours les informations sur la réputation ou la vie privée de votre ex-employeur ou de vos ex-collègues.
De plus, vous devez continuer de faire passer les intérêts de votre ex-employeur avant les vôtres pour un temps raisonnable après la fin de votre emploi. Cette période dépend de facteurs tels que le type de poste que vous occupiez avant votre départ.
Vos obligations après l’emploi pourraient être différentes si vous avez signé un contrat de confidentialité ou de non-concurrence.
Source : Éducaloi, Journal de Montréal, 16 juillet 2022, p46
199e jour de l’année
Lundi, 18 juillet 2022
À la douce mémoire de…
GERRY BOULET 1946-1990, auteur-compositeur-interprète québécois. Membre du groupe Offenbach.
JEAN-LOUIS CABANA 1942-2020, policier retraité de la Ville de Longueuil.
LOUIS LABERGE 1924-2002, Chef syndical. Président de la FTQ de 1964 à 1991. Créateur du Fonds de solidarité FTQ.
Une année de plus sur le chemin de la vie pour…
Michel Laplante
Bon anniversaire !
On jase là…
Hier, dans un centre commercial en Indiana, un individu armé a ouvert le feu, tuant 3 personnes. Un citoyen armé, témoin de la scène a abattu le tireur sur place. Bienvenue au Far-West !
Pensée et citation du jour
Nourrissez votre esprit de bonnes pensées, car nul ne peut dépasser les limites qui lui impose son manque de foi en lui-même.
Benjamin Disraeli
Ça s’est passé un 18 juillet…
(1997) Création du premier tribunal permanent et international, la Cour pénale internationale (CPI), chargé de juger les crimes de guerre et crimes contre l’humanité. Première juridiction universelle et permanente, son statut est signé le 18 juillet 1998 à Rome par 120 pays et l’est à présent par 139.
(2002) Première au Québec – Deux hommes s’unissent civilement. Émus et nerveux, les conjoints homosexuels Roger Thibault, âgé de 56 ans, et Theo Wouters, âgé de 60 ans, de Pointe-Claire, sont devenus jeudi les deux premiers Québécois à profiter de l’entrée en vigueur, le 1er juillet, de la loi 84 autorisant l’union civile entre deux personnes du même sexe. Ils vivent ensemble depuis 29 ans et tentent depuis sept ans de s’assurer une sécurité financière à la mort de l’un ou de l’autre.
(2013) Étendard de l’automobile triomphante au début du XXe siècle, Detroit est devenue jeudi 18 juillet la plus grande ville américaine à se déclarer en faillite, dernier acte en date de la lente agonie de « Motor City ». « Je prends cette décision difficile afin que les habitants de Detroit aient accès aux services publics les plus élémentaires et pour que Detroit reparte sur de solides bases financières qui lui permettront de croître à l’avenir », a expliqué Rick Snyder, le gouverneur de l’Etat du Michigan, dans un communiqué.
« La mise en faillite est l’unique solution qui permettra à Detroit de redevenir stable et viable », avait-il au préalable écrit dans une lettre qui accompagnait l’acte déposé au tribunal. La dette accumulée par Detroit est vertigineuse : 18,5 milliards de dollars. Acculée, la municipalité avait prévenu le mois dernier qu’elle serait obligée de faire défaut sur une partie de cette somme. En sautant le pas, Detroit devient la plus grande ville du pays à se mettre en faillite.
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