Le blogue de Normand Nantel
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Évasion fiscale et corruption, à nos dépens
La Une
J’ai écouté, comme à mon habitude, l’émission ENQUÊTE, (l’émission où on en apprend de belles), de jeudi dernier à Radio-Canada pour découvrir les ravages de l’évasion fiscale et la corruption, qui sont impunément monnaie courante au Canada.
Comme payeur de taxe et CONtribuable, c’est à nous rendre agressif envers toutes ces sociétés et compagnies qui cachent leurs faramineux profits dans des paradis fiscaux tout en profitant de généreuses subventions de nos irresponsables gouvernements.
Même certaines de nos propres sociétés québécoises, dans lesquelles nous investissons nos dollars, profitent également des paradis fiscaux, sans gêne et sans conséquences. On n’a qu’à penser à la riche Caisse de dépôts et placements du Québec (CDPQ), qui en abuse d’un côté, pendant de notre gouvernement lui, se dit contre des royaumes sans impôts, sans mordre !
IRVING
Au début du reportage, c’est cette compagnie multimilliardaire qui était passée à la loupe. Depuis toujours, cette société très diversifiée aux nombreux tentacules, ne paie pas un seul sous d’impôts aux gouvernements.
Tout passe de l’ouest canadien pour passer vers les Bermudes et revenir au Nouveau-Brunswick.
C’est scandaleux !
Pire encore, Irving dans ses différents projets canadiens, demande des subventions de plusieurs millions, qu’ils obtiennent très facilement. Des dollars pris à même nos impôts. La fortune de la famille IRVING est évaluée à 16 milliards de dollars et malgré tout ce que je viens d’énumérer, les gouvernements fouillent dans MES poches pour engraisser celles de ces profiteurs… et le mot n’est pas trop fort.
ALSTOM
Chez cette compagnie française, c’est la corruption qui prime, ils sont disposés aux pires scénarios pour décrocher des contrats. Partout dans le monde, comme des sangsues et ça dure depuis des années. Ce sont eux qui ont acheté la division ferroviaire de Bombardier, un autre abuseur de subventions.
Vous le devinez bien, ces autres profiteurs agissent impunément. Un corrompu fait affaire avec un autre corrompu. Essayons de faire de même, nous, petits CONtribuables insignifiants et sans envergures que nous sommes à leurs yeux.
Et savez-vous qui construit tous les wagons de notre futur REM qui prolonge ses échéanciers et par conséquent les dollars ? ALSTOM.
Quand vous verrez rouler les trains du REM, rappelez-vous que c’est le train de la corruption !
Est-ce que ça nous prendra un autre René Lévesque pour effacer toute cette corruption, et ce qui se trame dans les officines de nos gouvernements, pour mater une fois pour toutes, les véreux ?
310e jour de l’année
Dimanche, 6 novembre 2022
À la douce mémoire de…
BERNARD LANDRY 1937-2018, avocat, professeur et homme politique québécois. Député et ministre du Parti québécois de 1976 à 2005, et de 1994 à 2005. Il a été premier ministre de 2001 à 2003.
Une année de plus sur le chemin de la vie pour…
Luc Raymond
Bon anniversaire !
On jase là…
Avez-vous reculé vos montres et horloges d’une heure ? Ordinateurs, montres, téléphones et tablettes intelligentes, n’en ont pas besoin contrairement aux fours à micro-ondes, cuisinières et peut-être un petit cadran manuel laissé dans un tiroir, sans oublier la montre à ressort. C’est l’heure normale de l’est chez-nous ! On va maintenant souper à la nuit tombée.
Pensée et citation du jour
Tout ce qui peut être fait un autre jour, le peut être aujourd’hui.
Montaigne
Ça s’est passé un 6 novembre…
(1837) Début de la révolte des Patriotes. Les Fils de la Liberté avaient prévu un rassemblement dans la grande cour de l’auberge de Joseph Bonacina, rue Notre-Dame. Les membres du Doric Club croyaient que l’heure d’agir était venue. Ils firent placarder dans tout Montréal une affiche disant qu’il fallait écraser la rébellion à sa naissance et invitaient tous les Loyalistes à une réunion, le jour même à la Place d’Armes. Les Fils de la Liberté sont paisiblement réunis dans la cour de l’auberge Bonacina. Soudain, venant de la rue, une grande clameur se fait entendre et des pierres commencent à tomber dans la cour.
Les deux tiers des Fils de la Liberté sont partis : il n’en reste que 200 ou 300. Les membres du Doric Club essayent de séparer le bataillon des Fils de la Liberté. Les pierres tombent de tous côtés. Plusieurs coups de feu retentissent, mais personne n’est tué. Les Fils de la Liberté se réunissent pour la dernière fois en ce jour du 6 novembre 1837, car quelques jours plus tard, leurs chefs sont jetés en prison sous l’accusation de haute trahison. Les Canadiens prennent les armes pour s’opposer à l’exécution des mandats d’arrestation.
(1970) Le pont Pierre Laporte, qui devait porter le nom du pont Frontenac (personnalité historique canadienne), est inauguré en présence de la veuve de l’ex-ministre assassiné par le FLQ le mois précédent politique. Il relie les deux rives du Saint-Laurent à proximité du pont de Québec mais les six voies de circulation du nouvel ouvrage pourront recevoir quotidiennement 90 000 véhicules, soit cinq fois plus que le vieux pont.
(1990) La commission Bélanger-Campeau, connue sous le nom de commission sur l’avenir politique et constitutionnel du Québec, fut établie par l’Assemblée nationale du Québec à l’initiative du premier ministre Robert Bourassa, après le rejet de l’accord du lac Meech. Le rapport Bélanger-Campeau fut publié en 1991 et révisé en 2002. Il avait recommandé tenir un référendum sur la souveraineté-association en octobre 1992.
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Le blogue de Normand Nantel 
Salut Normand,
Simplement te dire que nous sommes partis Jeudi am vers la Malbaie et de retour hier pm pour avoir fait tout près de 1000 km sans bavure avec la Volt et sommes enchantés du résultat…
Très bon achat et bon pour quelques années !
Merci de tous ces précieux conseils et bonne journée,
Claude
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