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La Une
Ça me jette à terre quand je lis dans le journal que des compagnies privées de Montréal se targuent d’aider des immigrants ne parlant pas français à s’installer au Québec.

On fait quoi dans ce temps-là ? On met ces compagnies au pas ? On montre des dents ? On les met à l’amende ?
Non ! On laisse passer !
Qu’est-ce qui est si compliqué ?
Est-ce qu’on veut vraiment d’un Québec français ou on se laisse écraser en abdiquant, pour finalement disparaître ?
On a beau adopter des lois, mettre des exigences linguistiques minimales pour immigrer au Québec mais lorsque qu’on enfreint ces lois, il ne se passe rien. Aucune conséquence. À pleine page dans les journaux on dénonce, sans plus.
Les gouvernements ne font rien. Leur effort est inexistant. Ah, ils parlent, parlent et parlent encore et ça ne mène à rien.
Pour ce qui est d’un Québec français, je suis un radical assumé. Chaque fois qu’une personne autre qu’un touriste de passage s’adresse à moi en anglais, je m’empresse de lui répondre en français, par principe !
Savais-tu que la langue officielle au Québec est le français ? Renseigne-toi ou va faire un tour en Ontario.
ON NE S’AIDE PAS
Chaque jour, par exemple dans les supermarchés, il n’est pas rare de constater qu’entre eux, les employés s’expriment en anglais. Quand on nous approche en anglais, on s’empresse de répondre en anglais. Pourquoi ? Par politesse ? Par respect ? Le respect c’est mutuel. Par leur insistance ils ne nous respectent pas. Point final.
Selon Jean-François Roberge, le ministre de la Francophonie, il assure que son gouvernement est celui qui « en fait le plus pour la langue française ».
Foutaise !
Obligé les gens à apprendre le français avec des cours en ce sens, c’est déplacer une montagne avec une cuillère. Un contrat sans fin.
IMPOSER
Tout immigrant, réfugié, étudiant temporaire qui demande à habiter au Québec doit obligatoirement parler français pour se qualifier. Un français modéré afin de pouvoir bien se débrouiller et s’exprimer dans toutes les situations.
Il aura beau parler 3, 4 ou 5 langues, c’est le français qui est obligatoire, qui est imposé ici !
Tu ne parles pas du tout français ? Il te reste d’autres provinces et territoires, juste à côté, où tu pourras être accepté sans contraintes.
Simple comme ça !
Pourquoi les Québécois francophones peuvent s’exprimer en anglais, alors que pour beaucoup, le contraire n’existe pas ? Parce que des Michael Rousseau au Québec, il y en a des milliers et ils nous rient dans la face parce que leur unilinguisme anglophone ne les empêche pas de vivre uniquement en anglais. Et on accepte ça !
Trop simple en fait. Pourquoi pensez-vous que ces personnes inondent le Québec ? C’est parce qu’on est bonasse ! On jappe fort mais on ne mord pas ! En langage plus claire, on n’a pas de couilles… et on leur donne tout, rôti dans le bec.
59e jour de l’année
Mercredi, 28 février 2024
Pensée et citation du jour…
Bienfaisante santé, privé de toi personne n’est heureux.
Ariphron de Sicyone
Ça s’est passé un 28 février…
(1914) Charlot est le nom donné dans les pays francophones au personnage de vagabond interprété par Charlie Chaplin dans la plupart de ses films. Les titres des courts métrages de Chaplin ont souvent été traduits en français en utilisant le nom de Charlot suivi de son métier dans le film : Charlot boxeur, Charlot policier, Charlot musicien, etc.
(1957) Le financier Jean Louis Lévesque achète l’Hippodrome de Montréal connu sous son nom original de piste de courses Blue Bonnets de Madame Jeanne Seremba pour la somme de six millions. Il construit un nouvel hippodrome de plusieurs millions de dollars et ramène en 1961 les courses de pur-sang. En 1965, Paul Desmarais le PDG de Power Corporation du Canada prend le contrôle de Blue Bonnets.
(1957) Le populaire animateur de Radio-Canada, René Lévesque, reçoit le prix du journalisme décerné par la Société Saint-Jean-Baptiste. En 1952, René Lévesque est promu chef de service des reportages radiotélévisés à Radio-Canada. Avec la fin de la guerre de Corée, il devient animateur de l’émission de radio Au lendemain de la veille et des émissions télévisées Carrefour et Premier plan. De 1956 à 1959, Lévesque devient une personnalité publique très en vue en animant, à Radio-Canada toujours, une émission d’affaires publiques hebdomadaire appelée Point de mire. En 1957, il reçoit le prix Olivar-Asselin pour sa carrière de journaliste. À cette époque, il collabore occasionnellement à la revue Cité Libre, fondée par Pierre Elliott Trudeau.
Merci de votre fidélité. – Passez une excellente journée !
Bonne nouvelle aujourd’hui pour la loi 21
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