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Enfin quelqu’un qui a mis ses culottes. Je veux parler bien sûr du maire de l’arrondissement de Montréal-Nord qui a clairement et énergiquement décidé de ne pas donner suite à la demande de Madame Villanueva de renommer le parc Henri-Bourassa en celui de son fils Fredy. Cela aurait été un non sens, voire même une bouffonnerie d’y donner suite, quand on connaît l’histoire de cette famille et surtout des événements violents qui se sont produits en 2008. Ce triste dénouement ne se serait pas produit si le frère, Dany, avait obtempéré et collaboré avec les policiers. Il est indirectement responsable de la mort de son frère. Évidemment, la famille voit ça tout autrement. Doit-on s’en étonner ? C’est déjà beaucoup que les autorités permettent une marche annuelle, pas besoin d’en rajouter.
On n’a qu’à voir comment ce même Dany, hondurien d’origine, conteste son extradition, en se prévalant de tous les recours possibles auprès des instances fédérales de l’immigration. Combien pensez-vous que ça va nous coûter ? Tout le pays se fait ridiculiser. On devrait peut être lui donner une médaille. Le problème est que nous sommes tellement tolérants et bonasses, que le moindre voyou, se permet de venir contester nos institutions. Au Honduras, ce doit probablement être plus radical que ça, comme croupir au fond d’un cachot, au point où le monde t’oublie complètement avec les rats et la vermine.
Notre tolérance doit avoir une limite. Dès sa première condamnation criminelle, il aurait dû être embarqué dans le premier avion pour le Honduras avec interdiction formelle de revenir ici. Il invoque humainement la peur pour sa sécurité…? Qui vit par l’épée, périt par l’épée ! La première règle d’un immigrant ou d’un réfugié qui vient s’installer chez-nous devrait être l’obligation du respect intégral de nos lois, sous peine d’expulsion immédiate.
Bravo et merci au maire de l’arrondissement Montréal-Nord.