La politique sale

PKPLa politique c’est sale, mesquin, irrespectueux, immonde et d’autres qualificatifs aussi peu flatteurs peuvent s’appliquer à cette guerre fratricide qui se déroule à l’Assemblée nationale. On adopte une motion qui vise un seul individu; Pierre-Karl Péladeau et son empire Québécor, alors que les libéraux mangent dans la main des Desmarais de ce monde. Mais ces politiciens sont les mêmes magouilleurs et corrupteurs qui ont gouverné entre 2002 et 2014 à l’abri des regards et en vase clos. C’est clair qu’ils veulent la peau de Monsieur Péladeau.

Ils mordent à belles dents dans cette nouvelle saga sans régler les nombreux problèmes auxquels les CONtribuables ont à faire face. Ça me donne la nausée quand j’entends Jean-Marc Fournier faire de la petite politique arrogante alors qu’il n’y a pas si longtemps, il démissionnait pour encaisser sa généreuse prime de départ, pour finalement revenir en politique. On n’a certainement pas des leçons à recevoir d’une personne qui fait passer ses intérêts avant ceux des CONtribuables.

Même chose du côté de Philippe Couillard qui s’est enfui en Arabie Saoudite après sa démission pour revenir lui aussi où il était, au parti Libéral. Où étaient ses intérêts pour le Québec? Je vous fais grâce des détails de l’abus de pouvoir d’Yves Bolduc. C’est ça les libéraux. Des hypocrites! Ce n’est guère mieux du côté des péquistes avec Jean-François Lisée qui me déçoit au plus haut point et qui n’est pas digne de diriger ce parti. La guerre fratricide qu’il livre à Pierre-Karl Péladeau fait pitié à voir. Comment voulez-vous aspirer au pouvoir quand des éléments internes passent leur temps à saboter l’unité d’un parti. Pas étonnant que les CONtribuables soient dégoutés.

J’adorais Pierre Péladeau parce qu’il ne passait pas par quatre chemins pour s’exprimer. Il était direct! Il fonçait tel un bulldozer pour arriver à ses fins. C’est malheureux qu’il y ait de moins en moins d’individus de cette envergure. Le politically correct n’était pas sa tasse de thé. La déclaration qu’a faite Pierre-Karl Péladeau hier était sincère et juste. Il a tellement cloué le bec de ses détraqueurs qu’ils ont utilisé le remède de cheval pour imposer la motion qu’on connaît. Tel que des putains, les libéraux, caquistes et Québec solidaires ont couché ensemble, sans savoir si PKP tenterait seulement de devenir chef du Parti québécois. Aucun député intègre n’a eu droit à un tel traitement. C’est là qu’on voit comment la politique peut être sale. Après, on se demandera pourquoi les personnes de qualité n’osent vouloir tenter l’aventure.

Mon souhait le plus cher serait que toute cette manigance envers Pierre-Karl Péladeau lui soit salutaire auprès de la population est qu’il puisse réaliser son rêve de devenir celui qui a l’envergure, l’expérience et la volonté de faire du Québec un pays. Il a toute mon admiration. J’aime mieux que le premier Ministre du Québec soit un homme d’affaire prospère, qui a fait fortune au Québec et qui connaît sa réalité, plutôt qu’une bande de médecins qui ont encore bien des choses à prouver et des croûtes à manger, pour régler les vrais problèmes. En lieu et place, ils embarquent à pieds joints dans fabulations des vire-capots Legault et Barrette de ce monde, pour assouvir leurs bas instincts. On revoit les libéraux des années 2000, y a pas de doutes là-dessus.

3 commentaires sur “La politique sale

  1. Pour diriger un pays, une province ou une ville, ça prend une certaine expérience dans le monde des affaires. P.K. a prouvé qu’il a les capacités pour diriger un empire. Pour une fois qu’une personne a les critères requis, tous les partis s’unissent pour le discréditer. Pour moi un médecin c’est un médecin et un président de compagnie c’est une personne qui possède les critères pour diriger.

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  2. Donc, pourquoi les M. Desmarais de ce monde ne se présentent pas en politique? Et bien, M. Péladeau l’apprendra prochainement….Voilà aussi pourquoi son père ne s’est pas présenté en politique, et pourtant, il fût souvent sollicité…

    Michel Martin

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  3. Si j’étais lui je retournerais gerer mon empire. Le Parti québécois est un parti qui ne fait que s’entredéchirer intérieurement. C’est un parti de bois mort. Libérez-nous de ces partis tous plus corrompus les uns des autres et donnons-nous un pays avec un nouveau parti avec monsieur Peladeau en tête.

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