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La Une
Après avoir procédé aux dernières opérations de remisage, nous avons quitté nos quartiers d’hiver à 10h30. Carl, notre expert chauffeur pour transporter nos caravanes de notre site à l’enclos de remisage, et vice versa, nous a un peu surpris en se présentant alors que nous n’avions pas complètement terminé notre besogne.
La caravane est définitivement bien installée à l’entrepôt.
DÉPART SOUS LE SOLEIL
Au départ, le mercure indiquait 31°C avec un soleil radieux. Arrivés dans la région de Daytona, sur l’Interstate 95, c’était 33°C. Nul besoin de vous dire qu’au sortir de la bagnole climatisée, c’était comme recevoir un poids écrasant sur les épaules.
Six heures plus tard, on rentrait en Géorgie. Le soleil s’est graduellement caché derrière des nuages menaçants et de plus en plus noirs. Au loin, on voyait des éclairs traversés le ciel. En s’enfonçant plus vers le Nord et arrivé au milieu de l’État, une pluie diluvienne s’est abattue sur nous.
LA NATURE DÉCHAÎNÉE
Une pluie aussi soudaine que violente, comme si un immense sceau d’eau nous tombait sur la tête. On ne voyait rien à plus de 100 mètres, tellement la pluie était dense. Les essuie-glaces n’arrivaient plus à libérer le pare-brise. Avec tous ces camions, pas question de se déplacer sur l’accotement et risquer de se faire tamponner par un de ces mastodontes.
C’est sans compter, à travers tout ça, les alertes météo tonitruantes sur le cellulaire nous avertissant du danger, un peu comme les alertes Amber. Quand tu conduis et que ce son strident vient briser ta concentration, ça fait son effet. On les a eues à deux reprises.
On a fait comme plusieurs en allumant les clignotants et en diminuant notre vitesse. J’ai choisi de rouler sur la voie de droite, prenant la ligne continue, à droite, pour me guider. Ce violent orage a duré une bonne quinzaine de minutes et l’intensité s’est estompée graduellement.
Mais les nuages restaient présents.
UNE AUTRE ALERTE
Arrivée en Caroline du Sud, vers 19h30, on s’est arrêté au Holiday Inn Express de Hardeeville, pour notre première nuit. On voyait aussi les mêmes nuages qu’en Géorgie, noirs menaçants, roulants. Et on n’était pas au bout de nos peines. Prévoyant aller souper dans un resto des environs, voilà que cette fois, c’est une alerte de tornades qui nous tombe dessus.
Pas question de sortir, quand on a regardé par la fenêtre de notre chambre, on pouvait voir d’énormes trombes d’eau déferlées du toit de l’hôtel en s’abattant dans le stationnement. Cette pluie diluvienne a duré tout au plus 10 minutes, mais quel déluge d’eau. D’ailleurs, la photo qui agrémente cet article démontre la vision de l’orage qu’on pouvait voir. La qualité n’est pas exceptionnelle, mais elle est bien démonstrative de l’évènement.
La nature étant ce qu’elle est lorsqu’elle se déchaîne, s’est finalement calmée.
Pour revenir à nos moutons, on a roulé un peu plus de 800 km, et on reprend la route demain matin, après un bon déjeuner, pour le jour 2. Voilà !
95e jour de l’année
Mardi, 5 avril 2022
À la douce mémoire de…
MICHEL SAURIOL 1947-2020, policier retraité de la police de Longueuil.
Une année de plus sur le chemin de la vie pour…
Anita Lavoie
Bon anniversaire !
On jase là…
Je sais maintenant pourquoi les Américains sont friands du NASCAR. Ils tentent de conduire comme s’ils étaient sur une piste de courses; en zigzagant sans signaler, en suivant de trop près, en plus d’être des adeptes des silencieux loin d’être silencieux.
Pensée et citation du jour
Tout le monde savait que ce truc-là était impossible à faire. Jusqu’au jour où est arrivé quelqu’un qui ne le savait pas, et qui l’a fait.
Winston Churchill
Ça s’est passé un 5 avril…
(1925) Entrée en opération du système de téléphone automatique à Montréal.
(2003) Dans une décision hautement controversée, le boxeur Éric Lucas perd sa ceinture de champion des super-moyens contre l’Allemand Markus Beyer. Il n’est plus le champion du monde des super-moyens de la WBC.
(2006) La compagnie pharmaceutique « Merck » est tenue responsable de l’une des deux crises cardiaques causées chez deux hommes ayant fait usage du Vioxx pendant au moins 18 mois. L’affaire fut entendue par un tribunal du New Jersey devant un jury composé de six femmes et deux hommes. Merck doit débourser le montant de 4,5 M$ US en dommages aux deux plaignants.
Merci de votre assiduité. – Passez une excellente journée !
Merci pour l’info après la pluie vient le beau temps c’est ce que je te souhaite pour demain
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Ouf quel soulagement; on vous souhaite du beau temps pour demain
Lise & Gilles
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