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Hier, c’était le début des séries éliminatoires au hockey de la Ligue nationale. La deuxième saison, en somme, qui ne donne pas droit à l’erreur.
Seize équipes s’affrontent dans des séries où il faut gagner 4 parties sur 7, pour passer à la ronde suivante.
Le format diffère quelque peu des années lointaines où les confrontations étaient établies en fonction des points accumulés au classement général, sans égards aux sections ou divisions. Exemple; première équipe contre la dernière. Seconde équipe contre l’avant-dernière et ainsi de suite. Le calibre des gagnants culminait vers les meilleures formations lors de la finale.
Aujourd’hui on retrouve deux conférences, Est et Ouest, qui, elles-mêmes sont divisées en deux sections chacune. Dans l’Est, les sections Atlantique et Métropolitaine. Dans l’Ouest, les sections Centrale et Pacifique. La grande finale confrontera la meilleure équipe de chacune des deux conférences.
Cette façon de faire crée les meilleurs affrontements dès la première ronde. Prenons l’exemple des Maple Leafs de Toronto, qui n’ont pas gagné la Coupe Stanley depuis 1967, contre le Lightning de Tampa Bay qui vient de remporter les deux dernières coupes Stanley.
Ce sont deux équipes qui pourraient aspirer aux grands honneurs, mais avec le format des séries actuelles. Une de ces deux équipes sera éliminée dès ce premier tour. Souvent, les meilleures confrontations sont justement dans cette première ronde.
Évidemment, c’est mathématique mais des séries éliminatoires devraient augmenter d’intensité jusqu’à la victoire ultime. Souvent, les séries qui se terminent en 7 parties, sont dans le premières rondes et c’est une explication plausible à cet état de fait.
Personnellement, je préfère de beaucoup que le chemin vers la coupe Stanley se déroule avec le classement général final de toute la ligue, avec des face à face du genre 1 vs 16, 2 vs 15, 3 vs 14 et ainsi de suite.
Malgré tout ça, et que mes Canadiens ne sont pas des séries, mon intérêt demeure pour son intensité et du jeu plus serré. Je n’ai pas de prédiction particulière mis à part la confrontation entre les Maple Leafs de Toronto et le Lightning de Tampa Bay. Je favorise Tampa Bay, suite à quoi, il y aura un grand ménage dans la direction des Leafs.
En terminant, et selon moi, l’Avalanche du Colorado, devrait défiler avec le précieux trophée pour une troisième fois au cours de son existence.
123e jour de l’année
Mardi, 3 mai 2022
On célèbre aujourd’hui…
LA JOURNÉE MONDIALE DE LA LIBERTÉ DE PRESSE
À la douce mémoire de…
DALIDA 1933-1987, chanteuse internationale italienne.
On jase là…
Je me demande parfois si ce n’est pas perdre son temps que d’essayer de rattraper le temps perdu ?
Pensée et citation du jour
C’est toujours lorsqu’on n’a pas le temps qu’il faudrait faire une pause.
Sydney Harris
Ça s’est passé un 3 mai…
(1959) Le Vatican béatifie une première Canadienne, Marguerite d’Youville, qui créa les Soeurs grises de Montréal.
(1995) Une page d’histoire de l’humour québécois est tournée : prenant tout le monde par surprise, Rock et Belles Oreilles annonce son démembrement après 14 ans d’association. Richard Z. Sirois, Bruno E. Landry, Guy A. Lepage, Yves P. Pelletier et André G. Ducharme se sont rencontrés en 1980 au module de Communications de l’UQAM ; Rock et Belles Oreilles a vu le jour le 15 mai 1981 à la radio communautaire. Au cours des ans, RBO a collectionné 12 Félix et 10 Gémeaux. Sirois a quitté le groupe en 1987, et Chantal Francke s’y est intégrée l’année suivante pour y rester jusqu’en 1993.
(2009) La Repentignoise Marie-Ève Pelletier et sa partenaire française Julie Coin ont remporté la finale du double à l’Open GDF Suez, dimanche, à Cagnes-sur-Mer, en France. La paire franco-québécoise a défait en finale le duo composé de l’Argentine Erica Krauth et de la Georgienne Anna Tatishvili par le score de 6-4 et 6-3.
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