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La Une
C’est aujourd’hui la Fête des mères. Une journée pour se rappeler combien elle est précieuse. Elle a donné toute sa vie pour ses enfants. Moi, je n’ai plus la mienne depuis 11 ans, mais vous, serrez-la bien fort, entourez-la de votre incommensurable amour, comme elle l’a fait dès votre premier jour, et pour toujours. Si elle n’est plus là, regarder vers le Ciel et elle vous embrassera.
Afin de célébrer cette belle journée, j’offre à toutes les mamans, les paroles d’une très belle chanson écrite par Lynda Lemay. Bonne journée et faites provision d’une forte dose de câlins.
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Une mère ça travaille à temps plein
Ça dort un œil ouvert, c’est d’garde comme un chien
Ça court au moindre petit bruit
Ça s’lève au petit jour, ça fait des petites nuits
C’est vrai, ça crève de fatigue
Ça danse à tout jamais une éternelle gigue
Ça reste auprès de sa couvée
Au prix de sa jeunesse, au prix de sa beauté
Une mère, ça fait ce que ça peu
Ça ne peut pas tout faire mais ça fait de son mieux
Une mère, ça calme des chamailles
Ça peigne d’autres cheveux que sa propre broussaille
Une mère, c’est plus comme les autres filles
Ça oublie d’être fière, ça vit pour sa famille
Une mère ça s’confine au bercail
C’est pris comme un noyau dans l’fruit de ses entrailles
Une mère, c’est là que ça nous protège
Avec les yeux pleins d’eau, les cheveux pleins de neige
Une mère, à un moment ça se courbe
Ça grince quand ça se penche, ça n’en peut plus d’être lourde
Ça tombe, ça se brise une hanche
Puis rapidement ça sombre, c’est son dernier dimanche
Ça pleure et ça fond à vue d’œil
Ça atteint la maigreur des plus petits cercueils
Oh bien sûr, ça veut revoir ensemble
Toute sa progéniture entassée dans sa chambre
Et ça fait semblant d’être encore forte
Jusqu’à c’que son cadet ait bien refermé la porte
Et lorsque, toute seule ça se retrouve
Ça attend dignement que le firmament s’entrouvre
Et puis là, ça se donne le droit
De fermer pour une fois les deux yeux à la fois
Une mère ça ne devrait pas partir
Mais on n’y peut rien faire, mais on n’y peut rien dire
Une mère…
Lynda Lemay 2010
128e jour de l’année
Dimanche, 8 mai 2022
On célèbre aujourd’hui…
LA FÊTE DES MÈRES
LA JOURNÉE MONDIALE DE LA CROIX ROUGE ET DU CROISSANT ROUGE
À la douce mémoire de…
GILLES VILLENEUVE 1950-1982, pilote québécois de Formule 1 décédé tragiquement.
Une journée de plus sur le chemin de la vie pour…
Luc Aubin
Bon anniversaire !
On jase là…
Les séries éliminatoires de la coupe Stanley en sont à leur première ronde et les mises en échec sont tellement violentes que le spectacle en souffre, sauf pour les fanatiques. C’est à qui démolirait l’autre. Chaque arrêt de jeu attire les attroupements belliqueux. Pas surprenant que des joueurs jouent blessés. Quand un costaud de plus de 200 livres se donne un élan sur plus de 15 pieds pour te visser dans la bande, ça laisse des traces.
Pensée et citation du jour
Le voyage le plus long est le voyage vers l’intérieur, car celui qui a choisi cette destinée vient de commencer sa quête vers la source de son être.
Dag Hammarskjöld
Ça s’est passé un 8 mai…
(1972) La Cour supérieure condamne les trois chefs syndicaux du Front commun, Louis Laberge (Fédération des travailleurs du Québec), Marcel Pepin (Confédération des syndicats nationaux) et Yvon Charbonneau (Corporation des enseignants du Québec) à un an d’emprisonnement pour avoir défié une injonction ordonnant le retour au travail des grévistes de la fonction publique et parapublique. Trente-quatre autres dirigeants syndicaux seront condamnés à des peines d’emprisonnement de moindre importance.
(1982) Décès tragique du pilote québécois de Formule 1 Gilles Villeneuve, à la piste de Zolder en Belgique, lors d’une séance de qualification. Depuis, le circuit de l’Ïle Notre-Dame, à Montréal, porte son nom. Il avait 32 ans.
(1984) À 9h45, Denis Lortie un caporal de l’armée canadienne se rend au Parlement de Québec, armé de deux mitraillettes, tire sur une réceptionniste, tue un messager qu’il rencontre dans le corridor, arrive à un fumoir et tue une autre personne. Il trouve finalement son chemin et entre dans le salon bleu. Il tire de toutes parts.
Le sergent d’armes et directeur de la sécurité à l’Assemblée nationale, René Jalbert fut averti de la tuerie et tout bonnement entame la conversation lui disant qu’il a été dans l’armée lui aussi. Après plusieurs heures de discussion (à 14h22), Denis Lortie se rend à la police sans tuer d’autres personnes. Au total, Lortie a tué trois personnes et en a blessé 13. Il sera condamné à vie mais sera libéré sur parole 10 ans plus tard.
Merci de votre assiduité. – Passez une excellente journée !