Samedi, de rigoler…

La Une

Sur un vol vers la France, une jeune coiffeuse distinguée était assise à côté d’un prêtre. Elle lui demande :

– Mon père, puis-je vous demander une faveur ?

– Bien sûr, mon enfant, que puis-je pour-vous ?

– Eh bien, j’ai acheté un séchoir à cheveux électrique très perfectionné pour mon salon. Il est dans son emballage et bien au-delà de la valeur limite d’importation. J’ai bien peur que l’on me le confisque. Ne pourriez-vous pas le passer aux douanes pour moi, sous votre soutane, par exemple ? 

– J’aimerais bien pouvoir vous aider, Chère enfant, mais je dois vous avertir, je ne mentirai jamais.

– Avec l’honnêteté écrite sur votre visage, on ne vous questionnera sûrement pas.

Lorsqu’ils arrivèrent au guichet des douanes, la jeune femme laissa passer le prêtre. Le douanier lui demanda :

– Avez-vous quelque chose à déclarer, mon Père ?

– De la pointe de mes cheveux jusqu’à ma taille, je n’ai rien à déclarer !

Le douanier, trouvant cette réponse bizarre, lui demanda alors :

– Et de la taille aux pieds, qu’avez-vous à déclarer ?

– J’ai un instrument merveilleux destiné à être manipulé par une femme et qui n’a jamais été utilisé à ce jour.

Le douanier éclata de rire et lui répondit :

– Passez mon père !… AU SUIVANT !


– Pardonnez-moi mon père parce que j’ai péché…

– Qu’avez-vous fait ? demande le prêtre.

– Il y a quelques semaines, je suis allé à la bibliothèque. Je suis resté là jusqu’à l’heure de fermeture et quand j’étais sur le point de rentrer chez moi, la pluie a commencé à tomber. C’était si intense que j’ai dû attendre dans la bibliothèque. J’avais attendu un moment avec la bibliothécaire, une jolie jeune fille célibataire, puis de fil en aiguille, j’ai fini par coucher avec elle.

L’homme cesse de parler mais continue à pleurer.

– Voyons ne pleurez pas, c’est un péché, mais ce n’est pas si grave que ça. Vous direz 5 « Je vous salue Marie » et vous serez pardonné, dit le prêtre.

– Mais ça ne s’arrête pas là (l’homme n’arrête pas de sangloter). Quelques jours plus tard, ma voisine âgée m’a demandé de l’aider avec son ordinateur. Son mari a été hospitalisé et elle ne pouvait plus envoyer de courriels à son fils. J’y suis allé et j’ai réglé le problème, mais quand j’étais sur le point de partir, la pluie a commencé à tomber. C’était vraiment orageux et j’ai dû attendre. De fil en aiguille, j’ai fini par coucher avec la vieille dame, se confesse notre homme.

– Oh mon Dieu, cela rend les choses plus compliqués en effet, mais quand même… Vous direz 15 « Je vous salue Marie » et vous serez pardonné, ajoute le prêtre.

– Oh j’ai bien peur que le pire soit encore devant nous, s’écrie notre homme. Hier, je suis allé chez le coiffeur. J’étais son dernier client de la journée. Dès qu’il a fini et qu’il était sur le point de fermer son salon, la pluie a commencé à tomber si intensément que j’ai dû attendre avec lui. De fil en aiguille, j’ai fini par coucher avec lui aussi, rajoute notre homme.

– Oh mon Dieu, c’est en effet pire que ce que je pensais… dit le prêtre.

– Alors, que dois-je faire, mon père ? demande l’homme.

– Eh ben, répond le prêtre, vous devriez sacrer votre camp d’icitte au plus crisse avant qu’il commence à pleuvoir !!!


Deux couples d’amis jouent aux cartes. Moshé fait tomber ses cartes par terre et en se baissant pour les ramasser sous la table, il s’aperçoit que la copine de David, la belle Jessica, n’a pas de culotte ! Surpris, il se cogne la tête contre la table et ressort tout troublé. Plus tard, il va à la cuisine chercher quelques bières, Jessica le suit et demande :

– As-tu vu quelque chose qui te plaisait sous la table ?

Moshé dit :

– Oui, en effet !

Elle lui fait un clin d’œil, sourit et dit :

– Tu peux te l’offrir pour 200 dollars.

Après deux secondes d’hésitation, Moshé répond qu’il est intéressé. Elle lui dit que David travaille les vendredis après-midi et propose à Moshé de venir chez elle vendredi vers 14h00, ce qu’il fait bien sûr. Après avoir payé les 200 dollars, ils vont dans la chambre et font l’amour pendant 2 heures puis Moshé s’en va.

David rentre vers 18h00 et demande :

– Est-ce que Moshé est venu cet après-midi ?

Gênée, Jessica répond :

– Oui, il est passé quelques minutes.

– Et est-ce qu’il t’a donné 200 dollars ?

Honteuse, confuse et surprise elle répond :

– Oui, il m’a effectivement donné 200 dollars.

– Très bien, dit David, Moshé est passé à mon bureau ce matin, m’a emprunté 200 dollars et a promis qu’il passerait chez nous pour me les rendre, je savais que je pouvais lui faire confiance … !!!


Un agent de la SQ s’arrête dans une ferme pour parler à un fermier :

– Monsieur, je dois inspecter votre ferme pour de la culture illégale de drogue.

Le fermier répond :

– O.K., mais n’allez pas dans ce champ là-bas, en pointant le lieu du doigt.

L’officier explose :

– MONSIEUR, J’AI L’AUTORITÉ DU GOUVERNEMENT PROVINCIAL, dit-il en prenant sa badge dans sa poche arrière et la montrant fièrement au fermier ! VOYEZ VOUS ÇA ? CET INSIGNE SIGNIFIE QUE JE PEUX ALLER OÙ JE VEUX, ET CELA SANS JUSTIFICATION ! AVEZ- VOUS COMPRIS ? SUIS-JE ASSEZ CLAIR ?  

Le fermier hoche la tête poliment et retourne à ses corvées. Quelques minutes plus tard, le fermier entend des cris et des hurlements et aperçoit l’officier courir à toute allure, pourchassé par CHARLIE le taureau!!!

À chaque enjambée, le taureau gagne du terrain sur l’officier qui n’a aucune chance de se rendre à la clôture avant que le taureau ne lui enfourche le postérieur ! Le fermier laisse tomber ses outils et court vers la clôture.

Il se met à crier à l’officier :

– TON INSIGNE, MONTRE-LUI TON INSIGNE !


Un vieux couple, Claudette et Georges, décident de passer l’hiver au Texas. Georges avait toujours rêvé d’avoir une vraie paire de bottes de cow-boy. Un jour, il en voit une, en spécial, et il décide de l’acheter et marche fièrement jusqu’à la maison avec ses bottes de cow-boy. Il entre dans la maison et demande à Claudette :

– Remarques-tu quelque chose de différent sur moi ?

Claudette regarde et répond :

– Non !

Frustré, Georges s’enferme dans la salle de bain, se déshabille et en ressort complètement nu, mais portant toujours ses bottes. Il demande à sa femme :

– Claudette, remarques-tu quelque chose de différent MAINTENANT ?

Claudette le regarde et lui répond :

– Georges, qu’y a-t-il de différent ? Elle pend aujourd’hui, elle pendait hier et elle va encore pendre demain !!!

Furieux, Georges s’écrit :

– Câlisse, tu sais pourquoi elle pend ? Elle pend parce qu’elle admire mes nouvelles bottes, Tabarnak !

Claudette répond :

– T’aurais dû t’acheter un chapeau…STIE !


288e jour de l’année

Samedi, 15 octobre 2022

On célèbre aujourd’hui…

LA JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA CANNE BLANCHE

LA JOURNÉE MONDIALE DE LA FEMME RURALE

LA JOURNÉE MONDIALE DU LAVAGE DES MAINS


Une année de plus sur le chemin de la vie pour…

Michelle Couval

Bon anniversaire !


On jase là…

C’est quoi le problème avec l’Halloween ? C’est rendu au point où il faut censurer les décorations; pas de pendu ici, pas de sang là, pas de ci, pas de ça… Est-on rendu frileux même quand on décore notre environnement pour cette fête de bonbons pour les tout-petits. On se fait un peu d’air, on prend notre « GAZ » égal et on arrête de mettre des bâtons dans les roues de tout le monde. Depuis toujours, l’Halloween est prétexte à mettre en évidence les décorations de morts, d’horreur, de squelettes et de fantômes ont la cote. Un peu de compréhension s’il-vous-plaît !


Pensée et citation du jour

Un imprimeur est un homme qui ne manque pas de caractère et qui cherche à faire bonne impression.

Serge Mirjean


Ça s’est passé un 15 octobre…

(1878) Thomas Edison commence la production d’ampoules électriques. Il commencera un réseau de distribution en 1882. Cette compagnie sera fusionnée à la « General Electric » en 1892.

(1940) Pendant la Seconde Guerre mondiale, les ghettos servent à regrouper des Juifs, rendant ainsi la situation plus facile à contrôler. Les nazis enferment les Juifs de Pologne, de Biélorussie, de Galicie dans la partie occidentale de l’Ukraine (Ghetto de Lvov) dans des quartiers à part qu’ils clôturent et surveillent, coupés de tout contact avec l’extérieur, transformés en vastes prisons souvent surpeuplées, mal approvisionnées avant d’appliquer la déportation systématique vers les camps d’extermination.

(1986) L’ex-premier ministre du Québec, René Lévesque, publie ses mémoires intitulés « Attendez que je me rappelle… » chez Québec-Amérique. Dès la parution du livre, 80 000 exemplaires sont vendus. En tout, près de 250 000 exemplaires de « Attendez que je me rappelle » trouveront preneurs, un remarquable succès d’édition pour le Québec. Dans ce livre, Lévesque retrace les grandes étapes de sa carrière, de son travail comme correspondant de guerre en Europe à son accession au pouvoir avec le Parti québécois, en passant par son entrée en politique avec les Libéraux de Jean Lesage. Lévesque décédera l’année suivante.


Merci de votre fidélité. – Passez une excellente journée !

2 commentaires sur “Samedi, de rigoler…

Vous en pensez quoi ?

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :