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La Une
Ça fait toujours chaud au cœur de recevoir une marque de reconnaissance pour une implication quelconque, dans le courant d’une vie. Ça donne un sens à ce qu’on fait et pourquoi on le fait.
C’est cette délicate attention qui m’attendait lors de ma visite au terrain de balle, hier soir.
Pour vous mettre en contexte, Jean Laforce, un collègue de travail de plusieurs années avait initié une activité de balle-molle, dans le cadre d’une campagne de mise en forme pour les employés de la Ville de Longueuil. C’était en 1987.
Quelque mois plus tard, je me joignais à lui pour donner une nouvelle orientation à ce projet, pour en faire une activité et une organisation mieux structurées.
C’est dans cet objectif que La ligue de balle-molle Amicale Rive-Sud est devenu par définition une ligue où l’esprit de camaraderie était incontournable. Par la suite, 4 équipes ont été formées.
Mon rôle était de gérer les finances et règlementer l’organisation. De cette façon, des règles étaient à observer pour éviter les ambiguïtés, comme toute organisation qui se respecte. Évidemment, j’étais aussi un joueur à part entière et j’adorais jouer à la balle-molle.
Rapidement, on a vu apparaître les tournois de fin de saison suivi d’une soirée où les différents prix et trophées venaient couronner les récipiendaires et méritants.
Tout allait bon train et en 1994, je me suis orienté vers la musique et j’ai quitté l’organisation.
Bien des années ont passé depuis ce temps et récemment, via les réseaux sociaux, j’ai repris contact avec Jean, et appris que la ligue existait toujours, au même endroit, et que les activités reprenaient cette année, après un arrêt pandémique.
Jean m’a alors invité à faire un tour au parc, rencontrer les joueurs et placoter un peu. Revivre un brin de nostalgie. Les installations ont bien changé, et pour le mieux. Jean, lui, ne joue plus et se contente de bien diriger la ligue.
C’est ce que j’ai fait hier soir, saluer les gars et me retremper dans cette ambiance. Sans prévenir, c’est là j’ai eu LA surprise.
Jean a réuni tous les joueurs présents pour me remettre une plaque commémorative, soulignant ma contribution à l’organisation. S’il ne restait qu’une poignée des joueurs de mon époque, j’ai pu serrer la pince de tous avec un accueil des plus chaleureux. J’ai revu quelques visages connus et qui ont bien vieillis et gardent la forme.
Une vraie belle soirée qui valait définitivement le détour et qui m’a rappelé les plus beaux souvenirs de cette époque. Merci Jean ! Ce fut très apprécié.
188e jour de l’année
Jeudi, 7 juillet 2022
Une année de plus sur le chemin de la vie pour…
Nadia Angibaud – Julie Nantel
Bon anniversaire !
On jase là…
C’est quoi cette folie d’éviter « le mot en N » ? A-t-on déjà vu pareille niaiserie d’éviter de parler, entre autres, d’oeuvres littéraire comme Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer et Nègres blancs d’Amérique. Même les bulletins de nouvelles et les journaux font toujours allusion à la lettre N. Appelons un chat, un chat et N, un nègre ! C’est réglé, on passe à autre chose, sinon, on devra rééditer ces bouquins en remplaçant le mot nègre, en N partout. Et doit-on faire la même chose lorsqu’on se fait traiter de FROG, nous les francophones ? Une perte de temps qui ne vaut pas la peine qu’on s’y attarde.
Pensée et citation du jour
Si les gens savaient à quel point j’ai travaillé pour développer ce talent, ils ne s’étonneraient plus.
Michel-Ange
Ça s’est passé un 7 juillet…
(1969) Le gouvernement fédéral de Pierre Elliott Trudeau adopte la loi des langues officielles (sanction royale : 7 septembre 1969). Cette loi donne au Canada deux langues officielles : l’anglais et le français. Elle touche toutes les institutions fédérales qui devront devenir bilingues ; l’un des objectifs visés est de faciliter l’accès à plus de francophones à la fonction publique fédérale (le « French power »).
(1979) Le gardien de buts Ken Dryden, des Canadiens de Montréal, met fin à sa carrière dans la Ligue nationale de hockey. Il fut sélectionné par les Bruins de Boston au repêchage amateur de la LNH 1964 en 3e ronde (14e choix au total). Il est échangé aux Canadiens de Montréal en 1966. Dryden remporte le trophée Calder en tant que recrue de l’année en 1971. Il mènera cette même année le Canadien à la conquête de la Coupe Stanley et se verra décerner le trophée Conn Smythe comme joueur par excellence des éliminatoires.
(2005) Une série d’attentats revendiqués par un groupe islamiste jusqu’ici inconnu se réclamant du réseau terroriste Al-Qaeda font 56 morts et près de 700 blessés à Londres dans le métro et un autobus, une « série d’attaques terroristes » destinées à « coïncider » avec le G8 de Gleneagles (Écosse), selon le premier ministre Tony Blair.
Merci de votre assiduité. – Passez une excellente journée !
Toujours une belle plume
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Félicitations Normand!
Envoyé de mon iPad
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