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La Une
Voilà la maladie incurable dont souffrent nos routes, enfin tout ce qui est carrossable.
Par le passé, on voyait apparaître des nids de poule en mars, au dégel. On nous disait que c’était normal à cause de cette période. Mais de nos jours, le phénomène est permanent, peu importe la saison, et on ne parle pas de petits trous… Des cratères !
On doit faire du slalom, avec les risques d’accidents que cette manœuvre comporte. Lorsque la nuit tombe, ça devient très hasardeux et dangereux pour le véhicule.
Certains secteurs dans mon patelin n’ont jamais été réparés. Principalement sur les voies de raccordement avec les artères principales, c’est comme si l’endroit avait été bombardé. Lorsqu’on quitte la route 112 à la hauteur du chemin de Chambly, je ne compte plus les trous sur un kilomètre. Il y en a autant que quatre terrains de golf. Et cette situation est présente toute l’année.
Durant la saison hivernale, les autorités remplissent les crevasses tant bien que mal et, c’est la nouvelle mode, c’est au bout d’un gros boyau sur le devant d’un camion surnommé Roadpatcher, qui déverse des agrégats mélangés à un produit liant, avec pression, dans le trou. Point net ! On passe à l’autre trou…
J’ai repassé sur le même boulevard le lendemain pour découvrir que les agrégats étaient répandus partout sur la chaussée. Toujours à recommencer ce gaspillage.
Dès le printemps, on répare les trous avec de l’asphalte et, curieusement, on n’est même pas capable de niveler le produit fini, ce qui a pour conséquence qu’on a remplacé les trous par des bosses. Impossible de s’endormir au volant. Quand un tronçon parsemé d’une trentaine de nids de poule est réparé de cette façon, on se fait brasser pas à peu près.
LE BÉTON
L’idée de refaire les rues sur un fond de béton exactement comme on fait depuis quelques années pourrait régler le problème. C’est trop cher ! Alors le fait de boucher les cratères année après année ne me semble pas plus économique.
Ces dernières années, la route 132 à Longueuil a été refaite sur quelques kilomètres sur un fond de béton et avec tout le flot de circulation lourde, les résultats sont éloquents.
Les seules personnes pour qui les nids de poules apportent du pognon à l’entreprise, sont les spécialistes des alignements et réparations de suspension et de pièces de direction. Ah ! J’oubliais… aussi les vendeurs de pneus.
Farce à part, c’est une situation intolérable et extrêmement dangereuse qui ne semble pas déranger les autorités. On met des milliards de dollars en réparations mal faites et expéditives sans s’attaquer aux sources du problème.
C’est comme la Santé et tout le reste… Ça craque de partout !
72e jour de l’année
Lundi, 13 mars 2023
Une année de plus sur le chemin de la vie pour…
Jean-Claude Pouliot
Bon anniversaire !
Pensée et citation du jour
Quand on a mille raisons de pleurer, il faut se trouver mille et une raisons de sourire.
Carly
Ça s’est passé un 13 mars…
(1927) La Loi des pensions de vieillesse est promulguée, ce qui permet au gouvernement fédéral d’aider les provinces qui fournissent une pension aux sujets britanniques âgés de 70 ans et plus.
(1943) Destruction du ghetto de Cracovie. Début mars 1941, les Allemands ordonnèrent la création d’un ghetto, et lui choisirent comme emplacement la quartier Podgorze, dans le sud de la ville, et non pas Kazimierz, quartier juif historique. Les Allemands y regroupèrent les Juifs de Cracovie encore présents et des milliers de Juifs provenant d’autres villes. Près de 20 000 Juifs furent ainsi confinés.
Le ghetto fut entouré de fil barbelé et, à certains endroits, d’un mur en pierre. Des tramways le traversaient mais aucun ne s’arrêtait dans son enceinte. Dans la seconde moitié de 1942, les Allemands déportèrent environ 13 000 personnes du ghetto. À la mi-mars 1943, les Allemands détruisirent le ghetto de Cracovie. Plus de 2 000 personnes furent déportées à Auschwitz-Birkenau, où elles furent exterminées. Le reste des Juifs fut déporté au camp de Plaszow.
(1955) À Boston, Maurice Richard en vint aux coups avec Hal Laycoe des Bruins de Boston. Un juge de ligne tenta à trois reprises de maîtriser Richard, tandis que son adversaire le frappait. À la troisième tentative, il se retourna et frappa le juge. Il reçut une punition de partie pour son geste, c’est-à-dire qu’il ne pouvait plus revenir au jeu.
Il s’ensuivit une enquête disciplinaire au terme de laquelle le président Clarence Campbell suspendit Maurice Richard pour le reste de la saison, soit trois parties, et pour toute la durée des séries éliminatoires. De nombreuses personnes croyaient que le rocket avait été ainsi puni parce qu’il était canadien-français. Plusieurs insinuèrent alors qu’il avait été jugé et condamné d’avance. Cette décision sera à l’origine de l’émeute qui ébranlera le Forum le 17 mars.
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