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Un homme, maniaque de golf, est impliqué dans un terrible accident de voiture et on le transporte immédiatement à l’hôpital où il sera opéré d’urgence. Avant de procéder, le médecin va lui parler et lui dit :
– J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle. La mauvaise c’est que je dois vous amputer le bras droit.
– Ah non, dit le blessé, je ne pourrai plus jouer au golf. Alors, Docteur, quelle est la bonne nouvelle ?
– La bonne nouvelle c’est que je peux le remplacer par un bras de femme mais je dois avoir votre permission.
– Parfait, docteur, tant que je pourrai à nouveau jouer au golf.
La chirurgie fonctionne très bien et, un an plus tard, le médecin rencontre son patient sur le terrain de golf. Le médecin demande :
– Et comment fonctionne le nouveau bras ?
L’homme d’affaires lui dit :
– Je joue le meilleur golf de ma vie. Et, pas seulement ça, mon écriture s’est améliorée. J’ai appris à coudre mes propres vêtements et j’ai commencé à peindre des aquarelles.
Le médecin de répliquer :
– Wow, je n’en reviens pas. Un grand succès comme greffe. Par contre, avez-vous des effets secondaires ?
– Seulement deux. J’ai de la difficulté à stationner la voiture et, chaque fois que j’ai une érection, j’ai un mal de tête.
Un sans-abri est habitué à quêter à proximité du Métro Berri-UQAM où tous les jours, il reçoit de la part d’un fonctionnaire un montant de 20 $. Il en est ravi, on peut le comprendre.
Cela dure pendant plusieurs années jusqu’au moment où, l’homme ne reçoit plus que 15 $. Le sans-papier se persuade alors qu’au fond, 15 $, cela reste une somme non négligeable même si ce n’est plus 20 $.
Une année passe de la sorte quand tout à coup, l’homme ne perçoit cette fois plus que 10 $. Il ne comprend plus… d’abord 20 $, ensuite 15 $ et maintenant 10 $ ? Le lendemain, au passage du généreux donateur, le sans-abri lui demande :
– Excusez-moi, mais est-ce que j’ai fait quelque chose de mal ou bien est-ce que je vous ai manqué de respect pour que vous me diminuiez progressivement votre aumône ?
Le fonctionnaire lui répond alors :
– Ben oui, que voulez-vous, la vie devient de plus en plus chère et mon fils est entré l’année dernière à l’université et cela coûte beaucoup d’argent. C’est la raison pour laquelle, je ne vous donnais plus que 15 $. À présent que ma fille aînée est à son tour entrée à l’université, cela me coûte encore plus d’où le montant actuel de 10 $.
Sur ce, le sans-abri embraye :
– Et combien d’enfants avez-vous en réalité ?
Le fonctionnaire lui répond alors :
– Ah, quatre magnifiques enfants, mes trésors.
Et le sans-abri d’enchérir d’un air soucieux :
– Vous n’allez quand même pas tous les faire étudier à mes frais !
Deux prêtres catholiques discutent en marchant dans un jardin.
– Crois-tu que nous verrons un jour le mariage des prêtres ? demande l’un.
L’autre de lui répondre :
– Nous non, mais nos enfants, sûrement !
Une religieuse rend visite au curé :
– Voilà mon père : au cloître nous avons un problème avec nos deux perroquets. Ce sont des femelles et elles ne savent dire qu’une seule phrase abominable : « Nous sommes des prostituées, voulez-vous vous amuser ? »
– C’est affreux s’exclame le prêtre. Mais j’ai peut-être une solution. Apportez-moi vos perroquets, je les mettrai avec les miens qui sont des mâles et auxquels j’ai appris à prier et à lire la Bible. Ainsi vos deux femelles apprendront à louer et à adorer Dieu.
Le lendemain, la religieuse apporte ses perroquets au prêtre qui les met comme convenu dans la cage des deux mâles. Alors les deux perroquets femelles engagent la conversation :
– Nous sommes des prostituées, voulez-vous vous amuser ?
Et l’un des perroquets mâles dit à l’autre :
– Tu peux ranger ta Bible, mon vieux ! Nos prières sont enfin exaucées !
Un curé rencontre une de ses paroissiennes qu’il ne voit jamais à l’église. Comme il s’en étonne, la dame lui déclare :
– Oh je suis croyante, monsieur le Curé, mais je ne pratique pas.
– C’est comme moi, répond le curé : je suis nudiste, mais je ne pratique pas.