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Il ne faut pas se fier à son avocat.
Un parrain de la mafia découvre que son comptable, Guido, lui a volé 10 millions $. Son comptable est sourd et muet. C’était la raison pour laquelle il a obtenu le poste en premier lieu.
On a supposé que Guido ne pouvant rien entendre n’aurait donc jamais avoir à témoigner en cour contre le parrain ! Lorsque le parrain va faire face à Guido sur les 10 millions $ disparus, il emmène son avocate, qui connaît la langue des signes. Le Parrain dit à l’avocate :
– Demandez-lui où est l’argent.
L’avocate, en utilisant la langue des signes, demande à Guido :
– Où est l’argent ?
Guido répond par signes, « Je ne sais pas de quoi vous voulez parler ».
L’avocate traduit au Parrain :
– Il dit qu’il ne sait pas de quoi vous voulez parler.
Le Parrain sort un pistolet, il le met à la tête de Guido et dit :
– Demandez-lui à nouveau ou je vais le tuer !
L’avocate, en utilisant la langue des signes, dit à Guido : « Il te tuera si tu ne le dis pas ».
Guido tremble et par signes répond, « OK ! Vous gagnez ! L’argent est dans une mallette brune, enterrée derrière le hangar de mon cousin Bruno qui demeure juste à côté de l’épicerie ».
Le Parrain demande à l’avocate :
– Qu’est-ce qu’il a dit ?
Réponse de l’avocate :
– Il dit que vous n’avez pas assez de couilles pour appuyer sur la gâchette.
Un monsieur en voiture franchit un panneau « Stop », sans s’arrêter. Un motard de la police le poursuit et le fait se ranger sur le côté.
– L’agent : Permis de conduire, s.v.p.
– Le monsieur : Mais pourquoi chef ?
– L’agent : Parce que vous ne vous êtes pas arrêté au signal « Stop », permis de conduire, s.v.p.
– Le monsieur : Mais j’ai ralenti ! Et puis il n’y avait personne en vue.
– L’agent: Vous deviez vous ARRÊTER et vous ne l’avez pas fait. PERMIS DE CONDUIRE !!!
– Le monsieur : Bof ! S’arrêter ou ralentir, j’y vois pas la différence…
– L’agent: Descendez de votre véhicule
Tandis que le monsieur descend de sa voiture, l’agent sort sa matraque et lui en colle un bon coup sur la tête, ce qui le met à terre. Ensuite il continue à le frapper un bon moment. Puis il demande d’un ton sarcastique :
– Je m’arrête ou je ralentis ?
– Tu t’arrêtes…
– Eh bien voilà, t’as compris la différence !
C’est de la pédagogie à l’ancienne…
Un couple de retraités retourne chez le concessionnaire Mercedes et constate que le vendeur avec qui il avait fait affaire venait de vendre la voiture qui l’intéressait à une belle jeune femme blonde à la poitrine invitante et en mini-jupe.
Le vieil homme était visiblement choqué. Il s’est adressé au vendeur brusquement :
– Jeune homme, je pensais que vous m’aviez dit que vous pouviez m’offrir cette voiture à 95.000 $ mais je viens d’entendre que vous venez de la vendre 75 000 $ à la charmante jeune femme là-bas. Si je me souviens bien, vous m’aviez clairement indiqué qu’il vous était impossible de m’offrir ce modèle à moins que 95.000 $.
Le vendeur prit une profonde inspiration, s’éclaircit la gorge et saisit son café :
– Eh bien, que puis-je vous dire ? Elle avait l’argent comptant, n’avait pas besoin de financement et, Monsieur, regardez-la, comment pouvais-je résister ? répondit timidement le vendeur mal à l’aise.
Juste à ce moment, la jeune femme s’est approchée du couple de personnes âgées et a donné les clés de la voiture au vieil homme :
– Voilà ! dit-elle. Je t’ai dit que je pourrais faire baisser le prix à cet idiot. Je te revois tantôt papa. Bonne Fête des pères.
Un immigrant qui vient de débarquer rencontre une représentante d’Immigration Canada qui le renseigne et l’accompagne, afin de voir une fée qui travaille pour les Services Sociaux, qui lui annonce :
– Comme tu es un immigrant, tu peux faire trois vœux que je vais exaucer.
L’immigrant réfléchit un instant et lui dit :
– Comme premier vœu, je veux de l’argent tous les mois pour vivre, moi et ma famille.
La fée consulte la loi canadienne, pas de problème.
– Pour le second vœu, je veux une grande maison, pour pouvoir loger toute ma famille.
La fée consulte encore la loi canadienne, pas de problème. Alors l’immigrant réfléchit et dit alors :
– Pour le 3e vœu je veux être Canadien.
Et du coup… pouf ! Plus de maison, plus d’argent : tout à disparu, le réfugié manifeste et crie :
– Hé c’est quoi ça ?
La fée lui répond :
– Maintenant que tu es Canadien, si tu veux quelque chose… va travailler !
La petite Suzie revient de l’école et dit à sa mère que les garçons lui demandent toujours de faire la roue car elle la fait très bien.
La mère dit :
– Tu dois REFUSER. Ils veulent seulement voir ta petite culotte.
Suzie répond :
– Je sais, c’est pourquoi je la cache dans mon sac d’école !